Jeudis étranges, - mai 2023 - Ed Chemin Faisant.
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Il est parfois difficile de composer un livre de nouvelles qui ne soit qu'une compilation d'histoires. Guénane Cade a évité cet écueil en reliant ses nouvelles, qui sont plutôt des instants de vie, par un fil rouge chronologique, car chaque récit se déroule un jeudi. L'autrice apostrophe son lecteur établissant ainsi un lien de confidentialité au point de l'inviter même à poursuivre ou à interrompre sa lecture. Si au milieu du livre certaines histoires virent à la fable et constituent une trouée enfantine rafraîchissante, les autres sont une interrogation sur la mort: l'agonie d'un proche et notre rapport au corps, les massacres après le coup d’État de 1973 au Chili. Elle aborde aussi l'argent avec cet embarrassant héritage en temps de pandémie, l'exil et l'environnement. Guénane n'hésite pas à faire une critique sociale avec humour et légèreté. Dans chaque histoire l'autrice fait preuve d'une grande attention au monde, révélant ses secrets à travers les interstices du réel. Alain Le Beuze, poète et chroniqueur, septembre 2023. |
"...
Jeudi étrange, jeudi émouvant, jeudi souvenir, jeudi
d'ici, jeudi Chili, jeudi sourire, jeudi d'exil,
jeudi cauchemar, jeudi agonie, il y a un peu de tout
cela dans ce recueil non dénué d'humour et
d'émotions... Guénane Cade imprime ses nouvelles
d'un style et d'une fantaisie bien à elle. Sa vie
n'est pas qu'un roman, c'est aussi des nouvelles et
des poèmes qui parlent d'elle mais aussi de nous,
d'ici et de là-bas..."
Denis
Heudré, septembre 2023. Poète, il dit toujours
avec force et simplicité ce qu'il ressent, vit, voit.
"... En cet étrange samedi, je suis allé à ces Jeudis... comme en promenade, en complicité..."
Gilles Plazy,
poète, entre autres talents, samedi 15 juillet 2023
"Jeudis colorés et vivifiants... L'art de surprendre à chaque nouvelle, d'entraîner le lecteur dans des univers différents, déroutants parfois, inattendus souvent...Un pétillement permanent !... J'ai une fois de plus été frappé par vos années dangereuses sud-américaines..."
Yves Loisel,
journaliste ER et biographe, 10 juin 2023.
"...J'ai
respiré les effluves des crêpes-galettes, découvert la ligne
de démarcation entre la Haute et la Basse Bretagne... Jeu de
miroirs autobiographiques réussi... La nouvelle Boussole de
feu me parle immensément... J'ai la gorge qui se noue, le
rythme cardiaque qui s'emballe... J'ai fait un plongeon dans
mon passé..."
André Jolly,
franco-brésilien, spécialiste de l'art contemporain au Bénin
et commissaire d'expositions, 9 juin 2023.
"... Je me suis régalée... Tant de thèmes et de souvenirs retrouvés dans ces nouvelles... Ce livre m'a fait vibrer intensément..."
Tania, dimanche 4
juin 2023.
"...
Lundi férié ici, j'ai lu les Jeudis avec un réel plaisir... J'ai
beaucoup souri mais beaucoup d'émotions passent aussi dans
l'écriture, un très bon moment..."
Olivier Rousse,
lundi 29 mai 2023.
"...
Même si en apparence ces nouvelles n'ont pas de lien évident, il
m'est resté l'impression d'un véritable ensemble. Tantôt drôles,
tantôt émouvantes, elles sont toutes touchantes... Ces histoires
nous "parlent" personnellement..."
Nadine, jeudi 25
mai 2023.
"...Jeudis
étranges, sous l'olivier, ce livre m'ouvre des tiroirs qui
étaient presque fermés... La naissance d'une girouette ou la
présence des absents dans la mémoire des vivants, ce bouquin se
déguste comme un vieil armagnac..."
J.P. Causse,
angliciste, auteur du Dictionnaire des Vrais Amis, 23 mai 2023.
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Itinéraire d'une disparition, - mars 2019 - Ed Chemin Faisant.
Consulter: Itineraire d'une disparition un ploemeurtre écrit par Guénane - 8 mars 2019. |
"...J'ai
adoré et je me dis que je suis passée à côté de
beaucoup de choses sur ma terre natale... Peut-être
que ces souvenirs de lecture deviendront les
miens..."
Véronique
Frénot-Diaz, 31 août 2022.
"...Je suis sous le charme... J'ai vraiment apprécié l'écriture, très généreuse, bien tenue en laisse, ainsi que la question en attente et la réponse très imprévisible !... Merci pour le voyage, aussi pour les intrusions où la sale Histoire remonte à la surface..."
Gérard Cléry,
poète, critique, ce voyageur multicartes a aussi traduit
des chansons chiliennes et des poètes sud-américains. 21
avril 2019.
"...J'ai
lu Itinéraire avec plaisir... agilement sautillant dans une
histoire qui tient la route... La solution d'un problème
est-elle toujours au bout du monde ?..." "...Je suis arrivé allègrement à la page 161... Étrange histoire, que connaît-on des autres, en effet ? Un "road novel" dynamique et enlevé..."
Yves Loisel,
angliciste, journaliste ER toujours au fait et biographe, 5
avril 2019.
"... Du suspense et un style à nul autre pareil... la description d'un tango en quelques lignes relève du chef d'œuvre...et ce double rebondissement avant le saxo-bandonéon final... Je vais relire."
Jean-Pierre Causse,
angliciste saxophoniste, 22 mars 2019.
"...Drôlement
ingénieux et bien agencé, l'intrigue... On savoure et puis tout
s'accélère, on palpite..."
Jean Emelina,
universitaire niçois, écrivain, auteur de polars, 21 mars 2019.
"...
Ce qui fait un bon roman : une histoire et une écriture,
Itinéraire d'une disparition possède les deux... Des personnages
attachants et peu communs, rien de stéréotypé... des allers-retours
Bretagne-Amérique du Sud loin des dépliants touristiques... et
j'ai apprécié le double rebondissement final..."
Nadine qui précise :
" ni écrivain, ni critique littéraire, simple lectrice",
mars 2019.
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L'Intruse - mars 2018 - Ed Chemin Faisant.
L'illustration de couverture est une création originale de Béatrice Le Moigne, diplômée de l' ESAC de Tarbes. Guénane l'Intruse existe aussi en eBook sur Kobo by FNAC.
Consulter : "Une
romancière joue les intruses chez Chemin Faisant" 6 avril
2018.
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"... L'Intruse,
je tiens à vous dire, Madame, combien
j'ai aimé ce personnage, cette
Irlandaise vivante, étonnante, rebelle..."
Gaby Travers, rencontrée, Quai des
Livres à Lorient lors du Festival
Interceltique, août 2023. Seconde vie,
L'Intruse, second tirage, juillet 2023.
"...Etourdissement devant l'incroyable parcours et la personnalité de cette femme. Emerveillement devant l'écriture... j'ai dégusté au début puis dévoré... Epopée mêlée d'une sensualité à fleur de peau et un plaidoyer féministe... fascinant... travail considérable... pas seulement l'impression de lire, mais aussi d'assister à un film-chevauchée héroïque..."
Andres Jolly, franco - brésilien,
commissaire d'exposition au Bénin, 15
octobre 2020.
"...
Superbe héroïne, livre poignant, captivant.
Plume aussi fougueuse que scrutatrice. Des
rythmes accélérés ou suspendus, à peine
soutenables par moments. Une aventure de vie
qui, immiscée dans les méandres sournois de
l'Histoire, devient fascinante. Travail
colossal. Beau personnage de femme fait de
légèreté et de passion, de force et de fragilité,
de douleur et de résistance. Un exemple, parfois
un miroir..."
"...
J'ai adoré cette mise en lumière d'une femme
exceptionnelle que peu de gens connaissent ainsi
que l'existence du Paraguay... J'ai tout aimé,
l'histoire, la façon de la raconter, un superbe
roman historique... "L'écriture est un dur
exercice de maîtrise car les mots ont chez moi
une tendance naturelle à galoper. Je m'efforce
de garder les rênes rendues quitte ensuite à
pousser un long cri au fond de moi." dit
l'héroïne, P 349..."
"... L'Intruse...
comment dire mon enthousiasme ? Saga
magistrale... portée par une écriture
somptueuse, avec des scènes inoubliables...
cette femme c'est la noblesse d'âme... Lieux,
climat, personnages sont restitués avec
éclat... J'aimerais être cinéaste..."
Gilles Baudry, moine poète, 13 juin 2019.
"...Un roman historique de plus de 350 pages dont le fil rouge est le féminisme... la politique n'est rien à côté de l'amour de la musique et de la poésie omniprésent dans ces pages...Un témoignage très fort..."
Lucien Wasselin, 3 septembre 2018, à lire dans
Revues à Texture.
"...J'ai lu cet ouvrage avec gourmandise. Amour, Littérature, Histoire et Aventures, tout en majuscules, j'ai dévoré ce récit qui me comble... Il y a un tel souffle dans cette œuvre qu'elle ne peut laisser personne indifférent...Ce livre aurait mérité un écho national, les honneurs des meilleurs critiques..."
Jacques Velard, peintre et
commissaire d'exposition, 21 mai 2018.
"...Un gros roman, foisonnant de couleurs, de dialogues, de notations historiques, de détails en tous genres. Un vrai bombardement, digne des canonnières brésiliennes... Quelle souplesse dans l'imaginaire et la création littéraire, vos talents d'écrivain sont multiples et contrastés..."
Yves Loisel, ex chroniqueur au
Télégramme - toujours très attentif - et biographe, 14
mai 2018.
"... Je
connaissais un peu l'histoire de votre Elisa Lynch, pour
avoir un temps pas mal fréquenté le Père Lachaise...
Votre beau livre me permet de suivre sa vie aventureuse,
j'ai un faible pour les romans historiques et je vais le
garder précieusement..."
Yves Perrine qui ouvre La Porte à
la poésie depuis vingt ans, 9 mai 2018.
"...Je me suis
plongée dans ce roman de femme qui m'emmène sans discuter.
Il faut un grand talent pour parler de nous, les femmes,
avec doigté et justesse, de nos sentiments intimes, de nos
passions, de nos amours, de nos désirs et de nos peurs. De
nos grandeurs aussi..." "... ça fonce, ça caracole, c'est plein d'émotions, d'esprit et d'images... brillant et très documenté... on se régale..."
Jean Emelina, professeur honoraire à
l'université de Nice et écrivain, 6 avril 2018.
"...J'ai admiré
l'attaque du livre, des phrases courtes entre lesquelles on peut
respirer... je me suis emparé de ce roman ! La suite m'a
estomaqué autant par l'imagination que la connaissance de
l'Histoire...Je croyais voir, entendre, je mettais en scène,
j'inventais un univers, je claquais la porte au reste du monde..."
Jean-Pierre Causse, angliciste, auteur d'un
dictionnaire des vrais amis français-anglais, 10 avril 2018.
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Après le tome 1, décembre 2008, le tome 2, novembre 2011 et le tome 3,
février 2015,
En Rade 4, Brèves de cale
- février 2017 - Ed Chemin Faisant.
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" Ici, il n'y a ni Gauche ni Droite, y a bâbord et tribord... et ras bord bien
sûr ! "
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"...Guénane
s'en donne à cœur joie et c'est communicatif... C'est
incorrect à souhait mais pourquoi sourit-on ?...L'art du
mot de la fin remet les choses en place... des culs de
lampe agrémentent la lecture faisant de cet ouvrage un
livre agréable à tenir entre les mains..."
Lucien Wasselin, poète et
critique, 22 mai 2017. (Lire la note dans Revues)
"... Lires ces Brèves a ouvert en grand ma mémoire d'enfant au chapitre des vacances en Bretagne ... Ah, il y a bel âge, mais je m'y crois !...Merci de m'avoir autant donné à Voir et à Entendre !..."
Claude
Lafaye qui, dans son bureau plein à déborder au CNC,
conservait avec une fidélité enthousiaste toutes les
archives personnelles de son ami Abel Gance. Avril 2017.
"... Ces brèves sont du vécu brut ! Sans manières et sans précautions de langage ! On se croirait dans le bistrot du port, un magnétophone en route !..."
Yves Loisel, biographe et journaliste ER,
25 février 2017.
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En Rade 3, Brèves de cale
- février 2015 - Ed Chemin Faisant.
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"Comme dit l'aut' dans ma mémoire y a p'us grand-chose mais ça ressort à marée haute." |
Une tourterelle bien avisée... | ||
Lucien Wasselin, qui en a tant vu et lu, ne craint ni d'être désarçonné ni de se réjouir. Il a lu En Rade, le tome 3 des Brèves de cale :
"...C'est une
tranche de vie, un document grandeur nature sur la mer, et l'on
en apprend de belles, ainsi sur la mue des crustacés ! Mais il y
a aussi la page d'histoire qui n'est pas sans faire penser à ce
roman La
Guerre secrète dans
lequel Guénane fait la description du Lorient de son enfance...
Et ce livre est politiquement incorrect, vu ce qui est bu dans
les chapelles : ce qui n'est pas pour me déplaire ! ... Guénane
maîtrise parfaitement le mot de la fin qu'elle renouvelle à la
fin de chaque brève..."
Lire dans la rubrique Revues, l'intégralité
du chemin de lecture de Lucien Wasselin sur le site de Texture.
Mai 2015.
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Guénane a écrit le 3e tome de Brèves de cale Larmor-Plage - 02 Avril 2015L'écrivain Guénane, qui vit depuis 30 ans à Kernevel, vient de sortir le 3e tome de Brèves de cale. Chaque midi, Guénane se rend sur la cale. Elle engage la conversation, et les dialogues qui s'ensuivent sont autant de petits bijoux d'humour, mettant en valeur l'esprit vif et les bons mots des gars de la côte qu'elle rassemble dans ses Brèves de cale. Guénane a également publié quatorze recueils de poésie aux Éditions Rougerie et une dizaine de récits et romans. Brèves de cale, 3e tome, illustré par NicoB, édité par Chemin Faisant. |
TOUT PEUT ARRIVER |
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Constater ci-dessous - avec humour - que la presse parle d'une même voix... | |||
"Humour et poésie, En Rade 3 c'est de la fleur de sel!" JPC de Méditerranée, 7 mars 2015. |
Demain 17 Heures Copacabana - Mai 2014 - Apogée.
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"...
Précision et poésie, atmosphère sensuelle à souhait...L'écriture
très poétique de ce livre est une grande partie de son charme...
Tout ce qui fait de ce pays Le Brésil est décrypté... Qui y a
vécu ressent, revoit comme la première fois..."
Andres Minhoco Jolly, 28 mai 2020.
15 Janvier 2016 Les Chemins de
lecture de Lucien Wasselin ont fait un détour par Copacabana. "...Votre
livre m'a beaucoup plu! Léger et dense à la fois, bien rythmé,
captivant et "inquiétant" comme le Brésil lui-même... Ce que vous
nous racontez sur ce pays est juste à mes yeux... et vous le faites
très bien." |
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"...
Ce roman brésilien se lit comme un poème en prose, s'écoute comme un
nouveau Bel Canto, s'apprécie comme une symphonie, voire se goûte
telle une nourriture à la manière d'un gourmet périgourdin.
Une prose à savourer, page à page en retardant l'orgasme... sans
compter l'humour, les phrases d'anthologie et tout un univers..." "...Mais
que j'ai aimé ce Brésil d'alors et, omniprésente, cette musique de
la langue, de ce portugais tropicalisé! ..." "Les mutations du monde contemporain... sa
diversité... comment franchir les frontières que les hommes se
mettent entre-eux... Votre beau roman d'amour nous met sur la voie." " ... Un
dépaysement certain, chaud Brésil, en vérité! Ce roman est une
"samba à mille temps", aux mille couleurs, aux mille sensations et
émotions. C'est un jaillissement perpétuel..." "«...C'est
toujours rempli d'étés chauds, l'enfance.» La première phrase
a cette simplicité lisse et compacte qui donne au lecteur l'envie de
poursuivre... Toute la suite est un enchantement, il faudrait citer
tant de phrases, d'expressions, seule une poète peut écrire avec
autant de force et de charme en même temps... C'est une histoire
d'amour torride et la poésie ajoute à l'ensorcellement..."
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"... Plus je
rentrais dans ce roman, plus les mots, les phrases généraient des
images, ma lecture devenait un film... Ce carnet d'aquarelles libéra
mon imagination tant ce roman coloré et sensuel m'a touché..." Jean-Pierre Carlier, ex navigant du ciel, acteur de complément et aquarelliste juste pour le plaisir, 2 octobre 2014. |
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Pour tout voir et savoir sur le rendez-vous
niçois du 6 décembre 2014, avec Filomena Iooss et l'association
franco-brésilienne Brasil Azur, visiter le site:
Quand le livre et l'auteure se retrouvent
au coeur d'une saudade délicieuse, d'une rencontre
chaleureusement colorée par la plasticienne franco-brésilienne
Mica Barbot; l'un de ses tableaux sur les trottoirs pavés de son
enfance carioca inspira le graphiste Thierry Dardanello pour la
création de l'affiche savoureuse du chocolat littéraire de
l'automne. Filomena Iooss anima cette rencontre d'exception avec
charme et talent.
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Dans la gorge du diable - Janvier 2013 - Apogée.
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Lire EONTOS - Guénane: une sacrée découverte! |
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L'art
du roman c'est de savoir mentir. |
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«El misterioso Paraguay: dice un dicho que Paraguay es el lugar donde todas las teorías van a morir, es decir, no hay principios, ni leyes intelectuales, psicológicas o inclusive físicas que no encuentren su excepción en este País donde todo es debatible, y lo inesperado y jamás imaginado puede suceder o sucedió en su historia, su gente, sus gobiernos, su naturaleza... un país que según algunos historiadores no debería haber figurado en los mapas modernos a pesar de haber empezado como la Gran Provincia del Paraguay que luego se fue achicando y casi fue absorvida por Argentina o Brasil, pues el Paraguay y su raza mestiza que no se considera india como los Aimaraes de Bolivia, pero que habla guaraní, se resistió hasta el final a caer y desaparecer como cultura en la garganta del Liberalismo Colonialista Europeo, primero español y luego inglés que operó desde el Imperio portugués o el Imperio de Brasil...» Rolando Niella Bello, Paraguayo lúcido, 1er mai 2013. |
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"... Ceux qui
vous connaissent vous auront bien reconnue à travers ce "road novel"
sud-américain où les séquences ressemblent à des mouvements de danse
latino parfois endiablés!..." Yves Loisel,
chroniqueur retiré mais toujours lecteur, 9 avril 2013. |
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"...Une
lecture déroutante...Des situations extrêmes...Le livre
énigmatique se laisse absorber grâce à son écriture de haute
qualité, à la fois nerveuse et sensuelle." |
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"...Belle écriture élégante et vive, teintée d'humour et
parsemée de trouvailles...Récit tour à tour ironique et grave,
poétique, pittoresque, instructif ou discrètement ému...Dans le
dernier tiers du livre, le lecteur est pris "à la gorge", ça
explose, ça tourne au roman noir..." |
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"... Quelle puissance! Quelle dramaturgie! Le livre
va crescendo pour finir dans une explosion diabolique ... Style à la
fois sobre, élaboré, puissant, coloré ... et toujours ces phrases
choc. J'ai fini émerveillé, secoué... J'aurais aimé être
critique littéraire pour traduire l'émotion que j'ai ressentie..."
J.P.Causse, angliciste, lecteur de Sète. 4 février 2013. |
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"... Ce roman m'a enchanté! ... Vous avez l'art de trouver
l'image inattendue. Vous savez faire sentir le profond
désarroi des personnages... Et avec cela nous avons droit à
des moments désopilants... Je me suis régalé!"
L. Ghaoui, diplomate -près l'ambassade de France au Brésil- dans les
années 70. 30 janvier 2013. |
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"... Je suis sorti de La gorge du diable... Une heureuse lecture, un solide ouvrage qui souligne les qualités d'écriture dans un genre de plus en plus maltraité..." Max Pons, poète, écrivain, éditeur de la cinquantenaire Barbacane. 30 janvier 2013. |
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Camille et son ange - Decembre 2012 - Une collection chemin faisant.
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Illustration de couverture: Jérôme Alvarez www.jerome-alvarez.com |
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Récit paru en 2001 sous le titre L'Ange gardien, revu et affiné par l'auteur qui s'inspire de la vie de son arrière-grand-mère. |
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Gérard
Paris a chroniqué Camille et son ange pour Les Hommes
sans épaules ... Il est sûr que la tête de Camille "rejoignait
ses pieds par les plus courts chemins". Les Hommes sans
épaules, comme Camille, ont de subtils anges gardiens. N°
36, octobre 2013 |
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"...C'est un joli conte
qui peut plaire à bien des publics... Mais qui remarquera
comme vous avez l'art de bâtir des passerelles entre des
situations d'hier et d'aujourd'hui, entre la prose et la poésie?
"L'océan te l'apprendra", comprenne qui pourra, mais il y a là
de belles paroles qui peuvent trouver des résonances chez des
lecteurs se trouvant dans des situations semblables... sans
compter ce que vous dîtes sur les cicatrices..."
Yves Loisel,
longtemps au cœur des Lettres Bretonnes, 10 mars 2013. |
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"... Au début j'ai pensé à un conte fort bien écrit, à une œuvre de fiction. Je me suis vite aperçu que c'était énormément plus que cela. Il y a derrière un cœur qui palpite. J'aimerais vous parler du style admirable, du "brouillard où tout se perd" ... vous parler du contexte historique si bien retracé, de la Bretagne si bien décrite dans ses mœurs, des petites remarques piquantes pour un méridional ... J'aimerais être toujours libraire pour conseiller, j'aurais vendu Camille comme des petits pains! ..." Jean-Pierre Causse, lecteur sétois, 15 janvier 2013. |
Après le tome 1, décembre 2008:
En Rade 2, Brèves de cale - Novembre 2011 - Ed. Chemin Faisant.
Avec en sus la patte de Matt qui s'amuse. |
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"Tout regard plongé dans
une photographie subit une poussée de nostalgie égale à la quantité de temps écoulé." |
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"...Pour se remettre de
tout, il suffit de passer quelques heures à la Cale avec vous.
De l'humour partout, tout est matière à sourire et j'ai apprécié
les rappels littéraires! Un petit bouquin qui fait voir la vie
en bleu ou en rose-crevette!..."
JPC, joueur de saxo, 13 janvier 2012.
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La Guerre secrète - Octobre 2011 - Éditions Apogée (collection "Piqué d'étoiles").
"...J'ai découvert
votre livre au fil de mes pérégrinations sur le web... enfin un
auteur situait l'action de son livre dans cette ville martyre
qui m'est si chère, au moment où son destin bascule... J'ai été
enchanté, à la lecture, de votre capacité à donner corps à ce
moment collectif tragique, en y plaçant une belle et déchirante
histoire d'amour. De chaque page s'échappe une mélancolie
poétique en contrepoint du fracas des bombes... un vrai bonheur
de lecture..."
Ph. Henry, "un lecteur reconnaissant exilé
dans le sud", 6 janvier 2016.
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"...L'auteur
nous fait vivre ce Lorient occupé comme si nous y étions. En
plus de la véracité historique, l'écriture a le don de nous faire
vivre de l'intérieur cette période terrible... La Guerre
secrète est une tranche de vie arrachée à l'oubli... Une histoire
comme il en existe tant et tant, mais chacune en réalité est unique,
bouleversante et devient un vrai roman quand elle est racontée avec
autant d'amour et de talent." Note en ligne de Cathy Garcia, Délit de poésie, mai 2013, http://www.lacauselitteraire.fr/la-guerre-secrete-guenane |
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Les critiques de Lucien Wasselin - Chemins de lecture 2013 Guénane: « La Guerre secrète » Un livre émouvant qui nous parle d'un temps «que les moins de vingt ans» n'ont pas connu, d'un temps où la tuberculose faisait des ravages avant qu'elle ne fût éradiquée et ne disparaisse du paysage parce que la prévention et les conditions de vie avaient progressé. Mais un livre qui nous rappelle que rien n'est jamais acquis à l'homme car la tuberculose fait un timide retour traduisant ainsi la régression des conditions de vie d'une partie de la population, précisément les classes populaires... Mais voilà que je tiens des propos politiquement incorrects! Revenons donc au livre de Guénane. La Guerre secrète, c'est aussi celle que se livre en son for intérieur Lucie. Lucie qui a épousé, par amour, Émilien, un ami d'enfance dont elle connaît la maladie... Mais peu à peu, l'air du temps menant sa lutte sourde, «s'installe en elle la guerre civile» qui lui fait avouer: «Je t'aime pour tout ce que tu m'as fait découvrir, je te déteste pour tout ce qui va venir». Mais ce drame intime se passe dans une période troublée: la guerre d'Espagne, la drôle de guerre et, pour finir, l'invasion de la France par les nazis... Lucie travaille comme «receveuse-hôtesse sur une ligne d'autobus reliant Lorient au cœur de la Bretagne». Et le corps ayant ses exigences, arrive ce qui devait arriver: elle rencontre un homme dont elle tombe amoureuse et se retrouve enceinte... l'histoire serait banale avec tous ses développements mais le lecteur attentif se souvient alors d'un autre livre de Guénane (publié la même année), La Ville secrète. La proximité des deux titres le rend perplexe... Et il se souvient de fragments autobiographiques que Guénane lâche ici ou là: «La ville de Lorient ayant été détruite, Guénane est née au cœur de la Bretagne, à Pontivy». Et, dans La Ville secrète, il a lu ces vers «Exode/Enfant née en exil/amputée de sa ville »... Et certaines pages du recueil sont des apostrophes directes à la mère... Et de menus indices disséminés ça et là dans La Guerre secrète le poussent à cette hypothèse: et si le livre était une autobiographie déguisée? L'exergue qui ouvre le livre le conforte d'ailleurs dans cette hypothèse. Reste alors un livre qui, au-delà de la confidence qui avait sans doute besoin de la fiction pour s'avouer, est un tableau réaliste de la guerre. Faut-il le rappeler, Lorient, dès l'installation des nazis dans la ville, devint le chantier gigantesque d'une folle base de sous-marins voulue par l'amiral Dönitz que les Alliés n'eurent de cesse de détruire... Alors ce qu'écrit Guénane est l'apocalypse qui se dissimule (mal) derrière les mots des froides descriptions des encyclopédies. Une histoire personnelle se dit sur fond de l'Histoire, une petite histoire se dit dans la grande... Les deux font sens et permettent de mieux comprendre le réel. Il n'y a nulle idéalisation dans ce que propose Guénane au lecteur. Rien n'est laissé dans l'ombre, ni des difficultés qu'ont parfois la narratrice ou les personnages à se situer dan l'histoire, ni des contradictions qui déchirent parfois ces derniers... C'est que le style de Guénane est emprunt de souplesse. Ainsi ce qui aurait pu être scabreux est-il dit avec beaucoup de pudeur, de retenue; ainsi la description de l'horreur des bombardements ne sombre jamais dans le sensationnalisme. Tout est juste. On pense alors à ces mots d'Aragon: «Le roman est une machine inventée par l'homme pour l'appréhension du réel dans sa complexité». Lucien Wasselin est poète mais aussi un infatigable critique qui a multiplié les collaborations, articles, notes critiques, chroniques et dossiers dans ses domaines de prédilection: poésie, littérature générale, arts plastiques, musiques... et pour de nombreux journaux et périodiques. Revue-texture a aussi le grand plaisir d'accueillir ses notes de lecture. http://revue-texture.fr
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"...Je suis
bouleversé par la lecture de votre Guerre secrète, qui marie si
étrangement le récit intimiste et la vision hallucinée..." Albert Bensoussan, écrivain, octobre 2011. Dernier ouvrage paru, Faille, Apogée 2011 |
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Lire aussi sur le blog www.editions-apogee.com l'article de Albert Bensoussan "Chant funèbre pour Lorient", en écho à son enfance algéroise. | |
"Et la
guerre arriva. Et nous voilà ce soir." En terminant votre livre me reviennent les derniers mots de Brel dans Mon Enfance... Vous reprisez, vous suturez...Au lecteur de découvrir la grande cohérence que vous tissez au fil des pages, de recueil en récit..." Yves Loisel, longtemps chroniqueur au Télégramme, novembre 2011. |
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"...J'ai
apprécié La Guerre secrète, si sombre et si poignante (comme Le Mot
de la fin!) entre bombes et bacilles. Quelle énergie! Ecrire, est-ce
se sauver?..." Jean Emelina, dixseptiémiste, essayiste, février 2012. |
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Le Mot de la fin - Janvier 2010 - Éditions Apogée (collection "Piqué d'étoiles").
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"...J'ai lu Le Mot de la fin d'un trait...
Plongée dans un monde évoqué avec justesse et précision, avec
émotion et humour. J'ai moi aussi, au cours de mes
hospitalisations, découvert des choses accablantes. Livre
de 2010... tout le monde savait déjà..."
Patrice Perron, poète, nouvelliste, aime
déclamer en musique et rendre compte de ses lectures. Mardi 22
février 2022.
«C'est une suite de face à
face ombrageux dans l'urgence, entre une grand-mère à la mémoire trouée et
sa petite fille attentionnée (mais dépitée) que restitue Guénane tout au
long de ce récit. Le huit clos a lieu à l'hôpital. Dans un
théâtre où le mot «norme» relève de l'imaginaire et où l'humour ne peut
s'empêcher de venir contrebalancer la mauvaise foi de la malade.
Voyage au pays des «mères vieilles», là où la vie flanche, là où tout grince,
même les secrets, là où Le Mot de la fin laisse les vivants sans voix.»
Apogée. Le Mot de la fin
"...Quel cri et quel combat!
Quelle vitalité aussi pour accepter tout cela!
Et pour finir, quelle écriture,
limpide, claire, précise, jamais ennuyeuse ou bavarde.
Un grand récit à mettre entre toutes
les mains des soignants, des aidants, des familles...."
13 Novembre 2011, Gaétan Lecoq, médecin, auteur de la Tentation de la folie (Glyphe, 2010).
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Affiche Apogée | |
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«...Beaucoup
de mal à parler de votre livre parce que ma situation actuelle ressemble
beaucoup à ce que vous décrivez... Ceci étant, c'est remarquablement
écrit et composé, dans un style formidablement personnel. A chaque
fois vous me donnez le plaisir de confirmer que je ne me suis pas trompé sur
votre talent, votre personnalité, la rigueur de votre écriture. Je
regrette de ne plus avoir de tribune journalistique...» «...Humour noir, contrepèteries,
sarcasmes, le Mot de la fin n'est pas la fin des mots! J'ai les amygdales
convulsionnées... ceci dit, j'apprécie le style nerveux, je jubile même dans
le macabre. J'adore la fine pointe des "mères-vieilles". Ah, ah! Superbe!...» «...Poignant.
Atroce fin de vie. Que c'est dur à vivre quand on en est le témoin...Merci
de m'avoir fait partager cette intime relation qui s'effiloche, se délite,
s'émiette et se dissout à la fois...La vie est ce qu'elle est: pas toujours
bien égrillarde ou mutine, la garce!»
«Je suis arrivé au "dernier
mot".C'est atroce, étrange, incroyable, obsessionnel, délirant,
burlesque avec ce sentiment que cet impossible est possible et
probable...
Mettez Jarry, Kafka, Beckett,
Ionesco, Nietzsche, Kierkegaard dans un shaker, vous agitez et vous avez
Guénane! Tu peux être fière de tes spermatozoïdes!
"Enorme" disait Ubu. Manches
retroussées, tu remues la merde. J'ai été constamment captif et en
haleine...
Mon dernier mot, bravo, c'était
prégnant, ça ne s'oublie pas.»
Jean L'Anselme, poète "pour de rire et
pour de vrai". 21 mai 2010.
"...Le Mot de la fin,
je l'ai lu d'une traite. Terrible cette expérience mais toute écriture
est catharsis, et la merde notre lot, passé socialement sous silence.
Nous naissons (et mourrons) entre merde et pisse disait Saint Augustin.
"L'air est plein de nos cris, mais l'habitude est une étrange sourdine",
disait de son côté Beckett. L'humour aussi est une sourdine. Ne l'a pas
qui veut. Certains se suicident pour des bagatelles... Belle prose,
vive, nerveuse, agréable avec ce goût invétéré des mots et adjectifs
hors-clichés..." Lire dans Revues les mots de Jacmo (Décharge n° 146) et savourer les impressions de Gérard Prémel (Hopala! n° 34) |
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J'aurais aimé crier pour me
persuader que la vie NE pouvait se résumer à ce piétinement en soi-même.
Dommage que la négation manque
dans la citation
"... le récit livre une longue réflexion sur les mots, leur pouvoir, leur cruauté... ...La véritable hégémonie de l'être ne passe-t-elle pas par l'originalité de chacun?"
Gérard Paris a lu Le Mot de la fin pour Littérales n° 8.
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Brèves
de Cale, décembre 2008.
A l'air vif du large, et pour un plus grand plaisir, Marmou ajoute une trentaine de petits dessins craquants.
Ed.
CHEMIN
FAISANT.
Le port de Kernevel, 1960 (Archives Hervé Jan). |
MA LIBRAIRIE, novembre 2008.
Ma Librairie, nouvelle pour enfants (seulement?), est devenue album
illustré avec humour et talent par
MARMOU, chaleureusement mis en
couleurs par Caroline Houdelot, en pages par la scrupuleuse ISA, le
tout orchestré par CHEMIN
FAISANT, pour l'ouverture de la nouvelle
librairie SILLAGE.
"...L'amour de Guénane pour les mots et leurs facéties. Un petit livre illustré parfaitement par Marmou, en accord avec le côté espiègle du texte. Un livre divertissant...où s'anime le monde fascinant d'une librairie agitée d'un mystère de lettres..." Ouest France, 02 décembre 2008.
FENÊTRE SANS GARANTIE, novembre 2008.
L'annuelle revue LITTERALES est parue pour la cinquième fois.
Ses élégantes feuilles automnales bruissent de voix multiples.
Elle abrite FENÊTRE SANS GARANTIE, nouvelle.
Humidité
Nouvelle, La Barbacane, janvier 2008.
Le numéro de la revue est accompagné d'un S.O.S. Nous coulons!
Belle parmi les Belles pourtant, presque cinquantenaire, le papier Arches chuchote sous la caresse.
L'Approche de
l'Equinoxe
Nouvelle, juin 2007.
Tirage à 100 exemplaires enrichis d'un bois poli signé Christophe Carmellino. Sculpteur né à Lyon en 1965 (vit en Isère). Il aime l'abstrait «la forme avant la forme... et nous livre dans ce carnet une oeuvre pure, remarquable de simplicité».
Collection «Carnet des Sept Collines» dirigée par Michel Sottet.
Jean-Pierre Huguet, éditeur à Saint Julien Molin Molette (42220).
www.editionhuguet.com
Le Buffet
- un secret de famille.
Nouvelle illustrée, Revue Le Cri du Menhir N° 5, mars 2004, Editions Chemin Faisant.
Morgane, une Fée-Femme.
Nouvelle illustrée, Revue Le Cri du Menhir n° 3, 2003, Editions Chemin Faisant
Les fées bretonnes ne sont jamais des dames-comme-il-faut (sinon, qui s'en soucierait?) et Morgane est sans doute la plus sulfureuse.
Elle n'est ni...ni... Elle est mi...mi...
Insaisissable, elle est FEMME!
Toutes les forces mystérieuses sont en nous et ce n'est pas folie de croire aux légendes des Bretons.
40
Pieds Sur Le Rhum
2003, Ed° G.D. Saint Malo. 20 photos
«Ce
livre raconte l'aventure de Fildou-Le-Rouge et de trois copains qui
ont réussi à mener jusqu'au bout un projet plus grand
qu'eux: faire que l'un d'eux puisse participer à la Route du
Rhum 2002, Saint-Malo-Point-à-Pitre, sur un 12m qu'il fallut
adapter pour la course. Avec un budget misérable, le plus petit,
le plus léger, le plus "humide" trimaran de la Transatlantique
et Pierre-Yves son skipper ont vaincu l'océan déchaîné
en 24 jours, 5 heures, 15 minutes, 30 secondes. Une histoire de ténacité,
de partage aussi avec les enfants de Tremblay-en-France et un lycée
Guadeloupéen.
Guénane a su distiller les émotions partagées de
ce trio infernal qui nous entraîne dans son sillage.»
Klorane
Desquesses, Galerie des Sablons, Saint-Malo.
«N'asphaltez pas vos rêves
l'océan demeure
l'espace le plus séducteur
de la terre.»
«...
Pendant les 23 jours qui ont suivi le départ de Saint-Malo, Guénane,
que l'on connaît surtout par les poèmes qu'elle publie chez Rougerie,
a tenu, depuis Larmor-Plage (Morbihan), ce "Journal de houle".
Un livre illustré de nombreuses photos qui est bien à l'image de son
auteur, c'est à dire pétillant, chaleureux, nerveux...»
Le
Télégramme. Lettres Bretonnes par Yves Loisel. 02 mars 2003.
"
...C'est un livre rouge comme le bateau dont il raconte l'épopée;
l'histoire du plus petit trimaran(12 mètres) parrainé
par Jacqueline Tabarly, l'histoire de trois copains qui ont porté
ce projet, et l'aventure
chaotique de la septième édition du Rhum 2002..."
Ouest
France 9 mars 2003.
"...
Cet ouvrage narre de manière très vivante l'aventure du
plus petit trimaran en course sur la Route du Rhum 2002. Le plus petit
certes, mais qui est arrivé à bon port! Ce livre met à
l'honneur les trois amis qui ont porté ce projet depuis le port
de Lorient-Kernevel. Observatrice privilégiée, Guénane
a vécu chaque minute de préparation et a suivi la course,
le coeur battant... Cette course avait aussi un but pédagogique:
intéresser les élèves d'un lycée professsionnel guadeloupéen
et leur confier le trimaran à l'arrivée. Cet aspect humain
et généreux a touché Jacqueline Tabarly qui a parrainé
ce projet..."
Le
Télégramme - Lorient, 19 mars 2003.
PAX
Amers Ed° - Roman - 137p
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"Le ciel est un filet rempli
d'obscurs poissons" |
«Livre
bref, simple, qui ne laissera pas le lecteur indifférent. Pax
n'a rien à voir avec la paix. Récit en plein ciel, tiré
d'un fait authentique, écrit à la première personne
du masculin. Humour, légèreté, émotion dans
le huis-clos d'un vol de nuit.»
Le Télégramme, 28 juillet 2002, Lettres Bretonnes par
Yves Loisel.
«Guénane
raconte dans Pax une histoire d'amour sans toutefois jamais en parler:
un tour de force.»
Yannick
Pelletier, Ouest-France, 25 octobre 2002.
«Si
vous êtes passager et que les coulisses de la vie à bord
vous intéressent, Pax sera votre prochain bréviaire...
Humour, tendresse, une pointe de sarcasme... A coup sûr, après
avoir lu Pax, vous aurez une toute autre approche de l'avion.»
Aéroports
Magazine n°333, novembre 2002.
«Nous
avons fait l'heureuse découverte d'un roman en "vrai papier",
comme avant, et en "vrai français", comme on aime le
lire, fluide et ciselé... Pax s'inspire d'un authentique vol
de nuit Paris-Buenos Aires. C'est un roman qui saura séduire,
à n'en pas douter, de nombreux lecteurs...»
Briefing
n°14 (revue des équipages et opérations aériennes),
décembre 2002.
«J'ai
pris le livre dans les mains parce que j'ai trouvé qu'il avait
un bon Feng Shui... Fluide et attractif, juste ce qu'il faut... Beau
livre pour petit budget. Guénane, un nom féminin, j'ai
acheté... J'ai compris après que je m'étais trompé.
C'est un "je" au masculin qui parle. Mais, pour moi, c'était
une fille qui parlait. Une femme travestie. Comme dans les comédies
de Shakespeare...
Dans Pax, tout le monde est vu avec un esprit clair. Rusé. Irrévérencieux...
Mais n'empêche, j'en suis resté à mes histoires
de travestissement. Même dans le tragique... Ethnographie d'un
voyage aérien transatlantique par une femme travestie en homme.»
Revue
Hopala! N°12, Didier Caraës, novembre 2002.
L'Ange
Gardien - 2001
Aux
Éditions Blanc Silex
Récit
inspiré par la vie de son arrière-grand-mère, victime d'un secret de
famille:
«Ce
récit coule comme du petit lait. Si les veillées n'avaient été supplantées
par la catin cathodique, j'aurais aimé lire à haute voix cet ange-là.
Merci de m'avoir fait rêver avec ce récit d'une belle fraîcheur.»
Max Pons, Directeur de la revue LA BARBACANE
(46700 Puy L'Evêque).
Plus un
Ange est muet |
"Le temps revisité, le temps d'un joli récit écrit dans un style vif et alerte...Nous sommes au milieu du XIX ème siècle...Ce "secret de famille" - cette histoire est trop troublante pour être le fruit du pur hasard - fait écho à une préoccupation essentielle chez l'auteur: le mystère lié à son identité. On renverra ici le lecteur à Poing d'ombre, recueil de poèmes publié chez Rougerie, où ce thème occupe une place centrale." Yves Loisel. Le Télégramme. Lettres Bretonnes.Dimanche 5 août 2001.
«On
croirait un conte pour enfants sages. Et c'en est un! Guénane
a parfaitement atteint son but: écrire un livre accessible à
tous, dès l'âge de 10 ans. Les mamans l'offriront à
leur fille et le liront en cachette.»
Yann Lukas, Ouest-France, 12 septembre 2001.
Georges-Emmanuel Clancier, romancier, 31
mars 2002.