1971
Premier numéro
de Poésie Présente, imprimé par René Rougerie.
1997, numéro
100, fin de Poésie Présente.
« Bon vent à qui me salue ! » Dit-on en Rade de Lorient.
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| Au château de Bonaguil, lecture de CALCAIRE (Rougerie), avec l'auteur Max Pons, directeur de la revue La Barbacane et conservateur du château. | |
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1971
Premier numéro
de Poésie Présente, imprimé par René Rougerie.
1997, numéro
100, fin de Poésie Présente.
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Francopolis, hiver 2024
Luxuriante revue numérique.
Http://www.francopolis.net
Dans les notes critiques et témoignages,
Dana accueille ma lecture de La létale de la lune, épopée
lyrique de Ara Alexandre Shishmanian, accessible en libre
lecture sur le site de l'auteur.
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Intervention à Haute Voix, N° 66, octobre 2024.
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26 poètes ont succombé à l'appel de La Tendresse. | ||||||
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Texture 5,
octobre 2024.
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Une soixantaine de poètes amis de
l'Humain Michel Baglin font chœur avec cœur.
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Rose des temps, n° 49, septembre
2024.
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Sombrer... Rebâtir... Les poètes, comme la terre, mille manières de trembler et de croire encore. La revue n'est pas en panne d'espoir. Le Cahier de création accueille Les yeux de 'ma' mémoire et le Carnet de notes 'ma' lecture de Viva Coluche, ouvrage de Patrick Picornot, éd Parole & Poésie. |
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Francopolis, été 2024.
Revue trimestrielle en ligne très dense.
Dans ses Lectures brèves, Dana Shishmanian, poète membre du
comité, a résumé Sourcellerie en quelques lignes qui ne manquent
pas de souffle. |
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Terres de Femmes,
22 mai 2024
Après avoir abrité un poème de Sourcellerie, choisi par
Marie-Hélène Prouteau et illustré par l'entaille de
l'estuaire de Laure Ferrando, Angèle Paoli accueille la
lecture sensible et lettrée de Marie-Hélène Prouteau, comme
si, par sourcellerie de terres celtes, s'allumait un
invisible lien d'Ouest en Corse. A chacune, à chacun son
ressenti, à chacun, à chacune de remonter à sa source
intime.
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Rose des temps,
N° 48, mai 2024 |
Par d'autres lieux trouvons de nouveaux liens. La revue parisienne prend des airs de passagère et s'ouvre au monde, elle accueille ma rencontre avec le Padre Le Paige en Atacama. | ||||||
Les Hommes sans Épaules,
premier semestre 2024. |
350 pages et 400 grammes.
Ces Cahiers Littéraires abritent non
seulement 33 "poètes en Bretagne" mais une belle liste de
WAH, héritiers d'une intelligence millénaire subtile.
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Décharge (la
revue.com), 3 avril 2024
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Décharge n’a rendu ni l’âme ni les armes, elle a toujours son jeune bataillon de Polders, ses I.D et ses repérages. |
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Francopolis, printemps 2024.
Il faut bien 3 mois pour déguster tout ce qui niche au
sommaire.
En fin de parcours, Dana Shishmanian, poète, membre du
comité de lecture a choisi dans Lectures-critiques,
d'héberger une lecture-écoute de Patrice Perron sur Pas de
côté.
Elle laisse aussi le droit de gueuler en paroles.
La poésie est-elle dangereuse ? Mots écrits après avoir lu
la Lettre du Pen Club n° 38 où Ara Alexandre Shishmanian m'a
fait découvrir la vanité inhumaine de la terreur totalitaire.
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Rose des temps,
N° 47, décembre 2023. |
La revue m'a offert 4 pages pour évoquer Pablo
de Rokha,
l'un des quatre grands poètes chiliens.
Les trois autres: |
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| Francopolis, décembre 2023. | |||||||
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http://www.francopolis.net L’Humaine Dana Shishmanian – poète, membre du comité de lecture - m’a fraternellement accrochée aux «boules de Noël». |
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| Les Amis De Thalie, décembre 2023. | |||||||
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Guénane, de la
Bretagne à l’Amérique du Sud... Voyager de l’origine à l’éternité, écrit Gérard Paris. Lecteur insatiable, poète lui-même, affamé de poésie, quand il aime, il chronique. (Juste rectifier, pour les Amis curieux de Thalie, que Lorient, « La ville secrète », fut détruite en 1943 par les Alliés et non par les Allemands, comme on le croit encore trop souvent.) |
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| Texture 4, octobre 2023. | |||||||
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Elle s'allonge à souhait la
liste
des amis et des échos.
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La revue descend dans la rue
elle affiche la poésie des
bistrots
mais garde belle haleine.
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Voyages, Voyances
la revue de l'association
Paroles & Poésie est très dense
elle se souvient et prévoit,
le chemin de l'infini lui appartient.
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Une trentaine de poètes à
découvert sous les masques.
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Belle arrivée de mots et
d'images dans le sac à dos des souvenirs.
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La revue m'a offert quelques pages de "ruminations" dans sa rubrique Poètes français du monde, poètes en qui se côtoient plusieurs langues. |
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Des délicates contenues aux
charivariques
des colères de toutes les
couleurs.
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Pour pédaler encore dans les
mots avec le sourire de Michel Baglin (1950-2019 ).
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I.D n°916 : De père inconnu https://www.dechargelarevue.com/I-D-no-916-De-pere-inconnu.html
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L' I.D n° 196 de Claude Vercey. Il décide de rompre avec l'ordinaire des publications récentes et ouvre les pages secrètes de Poing d'ombre, recueil publié par Rougerie le 2 octobre 2000, qu'il a reçu récemment comme une confidence enfouie dans les replis d'un livre non massicoté. Il éclaire l'ombre encombrante d'une absence majuscule, livre qui remplace la photographie introuvable. |
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Pour que toutes les énergies animent à jamais le sourire et le talent de Michel Baglin (1950- 2019). |
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Patrice Perron, poète, a fait
ressurgir Ma Patagonie, La Sirène Etoilée, 2017.
" Découvrir... en parler avec
force et subtilité... dans un style concis qui n'exclut pas
quelques pointes de lyrisme..."
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Revue associative dijonnaise
trimestrielle, assez proche de la cinquantaine.
Format surprenant, grand
cahier, soigné, illustré, contenu éclectique: vers aux
syllabes bien comptées, vers libres, proses...
La revue a déniché un poème de Couleur Femme, Rougerie 2007, tout peut arriver ! |
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La collection La Porte s'est
refermée mais Digor l'ouvre encore...
Patrice Perron, poète, s'est
penché sur Tangerine éclatée ( La Porte 2017 ) avec le
plaisir du voyageur qui connaît et redécouvre les Açores. "Ce
petit recueil par la taille est grand par la pertinence de
l'expression des sentiments...et de la puissance des lieux..."
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Gérard Cléry, poète, écrivain
talentueux aux multifacettes, a lu Ta fleur de l'âge. Il
souligne un demi-siècle de fidélité entre les éditions
Rougerie et l'auteure... "l'aventure d'une vie... un livre
de santé et de sautes d'humour ! ...Aucun risque de tomber
jamais dans l'égout de l'ego..." Gérard Cléry lit, savoure
et "collige" ses sensations.
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Malgré son Dia débordant, Jacmo a trouvé temps et place pour Ta Fleur de l'âge. Il vagabonde et s'interroge dans ce "traité de l'âge à l'usage de tous..." |
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C'est étrange de lire son nom dans un poème. Surprise de Gérard Faucheux qui a lu Ta Fleur de l'âge à l'île de Batz en pensant à "demain"... |
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"Femme et poète. Guénane
porte une voix originale dans la création artistique
bretonne. Elle peut aussi bien nous parler de la Patagonie
que des îles bretonnes mais, de recueil en recueil, elle
distille subtilement des messages de sagesse...
Ta
Fleur de l'âge, exercice d'introspection excluant le "je"
pour privilégier le "tu"... Hymne à la vie... Hymne à la
poésie... avec cette belle définition qu'elle nous propose :
" Poésie / infini métier à tisser / le textile de nos vies
".
Extraits de la note de lecture de Pierre Tanguy, publiée en
ligne le 18 septembre 2019.
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Dans ses Chroniques du Furet, Claude Vercey n'a pas craint de courir jusqu'au Chili. Boussole de Feu rouvre les plaies du pinochetisme, esquisse le Chili d'aujourd'hui. Il rappelle Atacama, Ma Patagonie (La Sirène étoilée ), Un Rendez-vous avec la dune (Rougerie), le Furet aime pister les "soiffards d'horizon".
Claude Vercey a bien voulu humer Ta fleur de l'âge dans I.D n°
837. |
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Etrange chorale, Eliane Biedermann a recueilli la voix d'une quarantaine de poètes. |
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Le Far Ouest au féminin (plus UN!) mystérieux et décomplexé. |
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Revue annuelle de poésie illustrée,
Association Le Temps des Rêves, une vingtaine d'auteur-e-s vivent et
rêvent la vie.
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Dans sa revue grande comme une main tendue, Alain Crozier a invité ici neuf voyageuses insatiables, au sein desquelles un homme fait irruption selon le rituel. |
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Cathy Garcia a lu avec émotion Ma Patagonie. Elle a arpenté bien des espaces et rêve que ce monde donne un bon coup de talon quand il aura touché le fond. En attendant elle polit ses flèches avec énergie. | |
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Soupirs, sourires, souvenirs...
Il me plaît de relever dans les Ruminations de Claude Vercey sur "Pourquoi on aime ça, la poésie?", une page pertinente, surprenante.
Jean Pierre Nedelec (poète breton vif et
facétieux sans accent et sans tiret) a balayé de sa lampe frontale
juste, affectueuse et tonique le film documentaire Derrière les
mots de Henri Huchon.
Jacmo, dans son Dia, a enlacé Ma Patagonie et
Tangerine éclatée, les royaumes du vent peuvent se dire en peu de
mots.
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Claude Vercey aime le vent, il a placé Ma Patagonie sur: http://www.dechargelarevue.com/I-D-no-728-Jouissez-en-silence.html. |
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Premier envoi des Poèmes du Mois :
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1977 - 2017, IHV, têtue et discrète, fête ses 40 ans.
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Orchestré par Colette Klein, poète et peintre.
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En Rade 4 Brèves de cale. Michel Baglin, complice, a mis en ligne la note de lecture de Lucien Wasselin qui ose prendre plaisir à l'humour iodé de vieux pêchous bretons.
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Eliane Biedermann s'est laissé entraîner...
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Décharge, 14 octobre 2016.
Recours au Poème, N° 168, 2016.
Sommaire 168, critiques, La Sagesse est toujours en retard, Fil de lecture de Denis Heudré : "...Guénane distille avec légèreté et un grand recul... Un style qui lui est très personnel fait d'images, d'humour et de rythme..." denisheudre.free.fr Lire le N° 1 de son Infinie Géolocalisation du Doute.
Jointure, N°100, septembre 2016.
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1984, la revue espérait atteindre le prestigieux n°100. Elle le dédie dans la joie à ses amis et collaborateurs disparus..." en attendant de nouvelles aventures ! " | http://www.recoursaupoeme.fr/
Revue Texture, 2016.
lelitteraire.com , 6 août 2016.
Jean-Paul Gavart-Perret, écrivain, critique, responsable de la rubrique Arts et Poésie a chroniqué La Sagesse est toujours en retard.Communicatif, imaginatif, créatif il a aussi le front de réaliser des interviews intempestifs.6 août2016, lire Guénane : la baronne perchée dans l'Atlantique
Revue-Texture, juillet 2016.
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Guénane : LA SAGESSE EST TOUJOURS EN RETARD (Rougerie)Des vagues de mots /crèvent sur la plage des lèvres. Avec ces deux vers, on entre de suite dans deux domaines essentiels de la poésie de Guénane dans ce recueil : la poésie et l'océan. La poésie est omniprésente sous sa plume, avec des mots précis et contondants : Depuis la naissance /chaque nuit est un exode. Ce qui n'empêche les jeux de mots à tout instant l'éternité éternue ou des anagrammes en cascade. Et des exhortations nombreuses aussi bien pour son lecteur que pour elle-même, avec un grand nombre d'impératifs aux diverses nuances, de la prière à l'ordre.Guénane sait constater ses moments creux : Parfois c'est tellement sec en toi / que tu te crois sur la lune. Ou cette sentence en forme d'avertissement : ... et qui voit par derrière /par la nuque prend feu. Mais la plupart du temps, c'est la révolte et l'envie de profiter de la vie et du monde qui l'emporte. Sans regret ni espoir /vis /à ta démesure ... Quant au titre, il faut attendre la dernière page pour mieux l'envisager, Guénane se qualifie de rétive, et signifie que si la sagesse doit arriver, elle arrivera après, lorsqu'elle aura perdu toute énergie, la chose la mieux partagée de son recueil.
Jacmo, rêveur à sa fenêtre de guetteur laisse l'illusion jouer (derniers ouvrages parus : J'écris ( Rhubarbe 2016 ), Le Bord du paysage ( La Renarde rouge 2016 ). |
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Au-Delà
du bout du monde (La Porte 2015 ) s'envole dans l'anaphore. |
 Au-Delà du bout du monde, La Porte 2015.
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Eliane Biedermann a embarqué avec enthousiasme:
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Et, pour doubler l'écho, consultez aussi le site pimpant de Brasilazur :
http://www.brasilazur.com/2016/02/guenane-au-coeur-du-bresil/
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Jacmo est entré dans le paysage... "Guénane visite la Pointe sud du monde. Deux figures tutélaires l'accompagnent: Magellan et Darwin, la découverte et l'évolution... Voyage au centre de la création, on mesure à la fois les origines de la terre et les dangers proches de la détérioration..." |
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En Rade 3 Brèves
de cale. Merci à Michel Baglin d'avoir
mis en ligne le nouvel article de Lucien
Wasselin.
Si " à l'ordinaire
nul n'est tenu", ils savent l'importance
des sourires de connivence du quotidien.
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Patrice
Perron, poète, après s'être plié - avec
soin et plaisir - au rituel du découpage
de tout ouvrage édité par Rougerie, a
lu Un Rendez-Vous avec la dune.
"... Guénane livre sa version du monde de la dune, d'une dune à visage humain... La dune n'est qu'un écran censé caché l'île... comme si la dune apprivoisé et franchie, offrait l'accès à l'île, à l'être intime...Suggérer beaucoup dans des formules brèves... elle donne sa perception d'un monde parfois rude et qui hante sa mémoire, alors qu'elle prend la vie au jour le jour avec avidité..."
L'intégralité de cette approche simple
et sensible est à retrouver dans les
notes de lecture du n° 54 de la revue
IHV. |
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Le site littéraire de
Michel Baglin - écrivain vagabond de
l'écriture - propose un espace critique où
il vient de regrouper les articles minutieux
du poète et chroniqueur Lucien Wasselin sur
mes derniers ouvrages.
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Par
hasard de lectures, Denis Heudré propose en
vis-à-vis Une Île ici du talentueux bourlingueur
JC Pirotte et L'Approche de Minorque; l'un, 208
p au Mercure de France, l'autre, 34 p chez La
Porte, micro-édition; il fallait l'oser!
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Dans son espace poétique
ouvert sur le monde, Recours au Poème abrite Les Trois
refuges de Pablo, chronique consacrée au poète Neruda "rencontré"
au cours de mes séjours chiliens. Pablo Neruda aurait
apprécié, il aimait, il savait infiniment repenser la vie. |
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Eliane Biedermann, fidèle chroniqueuse des îles, a lu Clin d'Yeu et conclut en soulignant que "ce nouveau livret justifie pleinement le titre de la collection : Poésie en voyage." Comme elle aime la mythique Venise, elle a aimé Venise ruse : "...avec son élégance habituelle, l'auteure suggère plus qu'elle ne décrit...les qualificatifs s'égrènent...Guénane capte à merveille les états d'âme mystérieux que fait naître cette ville à nulle autre pareille..."
A lire dans les notes de lecture du
n° 53 de la revue IHV.
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 Couverture Ghislaine Lejard |
Guénane: RENDEZ-VOUS AVEC LA DUNE (Rougerie) C'est un grand livre de poèmes où l'auteur fait le point, au sens photographique, à savoir règle la mire avec ce qu'elle a à dire sur elle-même, son enfance, son présent et le futur. C'est la dune, en effet, qui sera dans le viseur, le focus. La dune, avec sa végétation, apprise des pieds par cœur, comme l'espace fragile et longiligne qui renvoie à la fois à l'île, l'océan et l'horizon. Il n'y a pas de complaisance dans cette contemplation : Sur la dune / tout narcisse s'étiole. Mais matière à réflexions, éclaircissement de son existence et bilan du temps qui avance Sur la dune je me rumine. Guénane tend à rechercher l'enfant dans la femme, comme un tout compact d'elle-même, et accumule les conseils qu'elle se donne aussi bien qu'à son lecteur: Capture l'instant / adopte ton enfance à chaque ressac. Une des manières d'arriver à ses fins est de jouer avec les mots, avec les sons, avec les notes Mots musique moelleuse ... Tout un pan du livre est un retour aux amusements de la jeunesse, alors qu'un autre, intimement mélangé, tend à faire face à l'âge adulte plus âpre: dans le sable s'enfoncent les mensonges / l'horizon retire ses hameçons. Mais lorsque la bonne mesure est trouvée, une certaine sérénité se dégage de cette poésie salvatrice avec ce distique en t'orme de devise : Qui trouve la bonne distance / les griffes ne sort. Extrait du précieux DIA de JACMO. Dia, jour, Jacques Morin ouvre aussi parfois les tiroirs de ses nuits; dernier recueil paru: Sans Légende, éd. Rhubarbe, 2013. |
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Porte ouverte par Jean-Paul
Kermarrec au pays de Morlaix
37 noms au générique ( 12 au féminin ) En breton, digor c'est l'ouverture Digor c'est la poésie au cœur des arts. |
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L'almanach bulgare de Littérature,
Science et Art, SVETA GORA (La Sainte Forêt) 722 pages
(sans compter la table des matières), presque 2 kg,
accueille 8 poètes, Alain Le Saux, Béatrice Bonhomme,
José Galdo, Guénane, Philippe Courtel, Béatrice Machet
et Paol Keineg, dans le beau mystère de l'alphabet
cyrillique...
Merci à la poète messagère Anélia
Véléva.
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La revue hossegorienne du "serviteur" J.P.Lesieur a confié à Hervé Mesdon ce n° spécial; il a réuni deux douzaines de poètes qui vivent en Bretagne et qui essaient, comme ailleurs, de ne pas trop se recroqueviller. |
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Tu
as vieilli |
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Jointure espère atteindre son N° 100 pour la Saint-Jean 2015.
"Quelle place pour l'activité poétique dans la société des années 2050?" |
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Couverture Gaël Pietquin |
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Gérard Paris a choisi IHV pour
chroniquer:
- La Ville secrète (Rougerie 2011).
" En poèmes fragmentés, déchiquetés,
Guénane narre son enfance, sa mère, la destruction de
Lorient pendant la guerre... L'enfant-fuite se heurte
à l'écheveau des interrogations...continue sa quête pour son
identité... Face à la mère qui se dresse comme un mur,
face à l'agonie d'une ville, il ne reste en dernières
viatiques plus que la poésie..."
- et La Guerre secrète (Apogée, 2011).
"...Ce qui pourrait passer pour une
histoire de midinette tourne très vite à la catastrophe...Si
l'amour traverse brièvement ce récit, c'est surtout la mort
qui le hante; morts dues à la guerre mais aussi mort
intérieure d'une héroïne prisonnière de ses peurs et de ses
hantises..."
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Introït pour l'éternité |
Lieux D'Être - Janvier 2012
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Même si chaque revue est une "maison
close"
"Elle est une Autre", Lieux
D'Être,
est un double numéro de
passerelles tendues
au-dessus d'eaux vives ou
silencieuses...
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Littérales N° 8 - Septembre 2011
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Sous l'œil de Marguerite
Duras:
"Écrire c'est aussi ne pas parler. C'est se taire. C'est hurler sans bruit." Littérales m'a ouvert ses pages Écrire et Être. |
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Numéro spécial de la revue Jointure - Mai 2011
 |
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Numéro spécial de la revue Jointure, édité par la Jointée,
consacré à René Rougerie. Une quarantaine d'auteurs se
souviennent et témoignent. Emouvant et bel hommage à cet "amoureux
fou de poésie" voulu par Marianne Arnold, préfacé par
Jean-Pierre Desthuilliers. |
| www.lajointee.com | ||
IHV - N° 48
- Eliane Biedermann a toujours bonne mémoire, elle a décrypté Hoedic
(La Porte, 2010):
"Cette nouvelle plaquette vient
augmenter la série des poèmes sur les îles que nous offre Guénane
depuis 1999 dans la collection "Poésie en voyage"... Hoedic conserve
le mystère des origines... Ce recueil est indispensable aux amoureux
de la mer, de la Bretagne, de ses îles, et de la poésie. "Les
millénaires s'emmêlent / le silence écrit / en vous le temps
s'éboule."
Esprits poétiques 4 - Sortilèges (Hélices)
 |
Hélices brasse la vie les mots prennent le pouvoir accueillis par Dana Shishmanian. |
| http://www.helices.fr | |
Janvier 2011
 |
Sur papier recyclé Nouveaux Délits recycle la VIE. |
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Purgeons nos têtes et nos
cœurs plutôt dix fois qu'une! Cathy Garcia. |
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Spered Gouez - octobre 2010
 |
Sauvage, l'Esprit n'a ni frein ni frontière. |
Hopala! n°34
Décharge n°146
couverture Dominique Leloir.
Décharge n°145 - Mars 2010
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Spered Gouez - octobre 2009.
La revue Spered Gouez s'entrouvre sur 37 femmes.
Caneton, petit rendez-vous post mortem du 27 septembre 2008.
Petite rectification pour qui lira: c'est le 27 septembre 2005 que fut annoncée cette mort...
Interventions à Haute Voix, N° 44, 2009.
SEIN lu par Eliane Biedermann dans IHV, N° 44.
Rétro-viseur - juin 2009.
Article surprenant et bien ciblé de Lucien Wasselin.
Interventions à Haute Voix, N° 43, janvier
2009.
"Ils...ont dit...île..." 38 voix, chacune sa houle, son souffle.
J'y retrouve ma "Voisine":
L' Île nous appelle en sourdine
jubile
et son miroir nous trouble.
Hopala N° 29, juillet - octobre 2008.
Tout est dit.
Minutieux LISEUR, merci.
Revue Jointure, septembre 2008.
Patricia Laranco, Mauricienne à qui rien n'échappe..
Interventions à Haute Voix n° 41, mars 2OO8.
100 pages de départs pour ailleurs et nulle part.
J'y fais escale avec ma balise. Merci Gérard Faucheux.
Merci aussi Eliane Biedermann qui, depuis 1999, a tangué au gré de mes "îles". Elle a relevé la petite musique de ce huitième et dernier grain de mon chapelet pour l'île de Groix ma voisine. (La Porte, 2007).
E.B. vient de publier, aux Ed. Caractères, sous le joli titre "En
Marge des Rues Etroites", un chassé-croisé où la lumière, même si
elle tremble, l'emporte toujours sur les ombres, sans tricher.
DIERESE N° 40
Gérard Paris a chantourné un article autour de
Couleur Femme.
Il semble prendre un certain plaisir à suivre les volutes de cette
couleur mystère.
" ...De sa prison intime, la Femme sécrète ses voluptueuses amours
et garde la mémoire du désir."
" ...Errante, clandestine en elle-même, la Femme, liant l'écriture à
sa sensation amoureuse, tente de traverser les strates de sa
conscience, révélant à la fois son désir et son identité profonde..."
"...La Femme , au-delà des doutes et interrogations, va s'employer à
refonder son identité intérieure..."
Un poète est celui qui ne fait jamais ce qu'il écrit, dit-on.
Merci Gérard Paris de croire que parfois le contraire existe.
LIEUX D'ETRE N° 45
Merci à Madeleine Carcano qui a trouvé le temps, malgré les aléas de
l'impression, d'éclairer Couleur Femme.
"...Soif à boire" que la main consent à écrire sur une page...
Poème qui monte vers le septième ciel rouge du Titien...
"Il est une île écrite
sur un matin du monde" il est un recueil où vibre "le verbe troubler".
Telle est la voix de Guénane dont la liberté prend couleur Femme,
prend couleur Vie."
Rétro-Viseur, n° 107, juin 2007
Un coup d'oeil
dans le Rétro-Viseur, n° 107 de juin 2007, et le plaisir d'y
rencontrer le regard que Lucien Wasselin pose sur Île?
« ... Pas d'affirmations massives: chaque poème est une
interrogation... pas de réponse aux questions posées, le poème reste
ouvert. C'est ce qui fait le charme à la fois âpre et doux de cette
plaquette qui laisse "onduler l'énigme".»
C'est que l'île trempe les caractères sans cesser de les illuminer.
Rétro-Viseur. 2006-2007 n° 105 -
106
Lucien Wasselin avait cordialement, minutieusement médité sur
l'Océan te l'Apprendra dans le n° 105: « ... Il n'y a rien d'aride
dans ce livre car il est le réceptacle d'une poésie sensible: la mer
offre toutes les métaphores possibles pour dire l'humain, l'amour et
l'accord. »
Venu du même Nord, Jean-Claude Bailleul, poète, est devenu
morbihannais. Ses amis du Pas-de-Calais lui ont proposé une
chronique sur les horizons poétiques de la Bretagne. Il me
tend la main dans le n° 106.
Après un regard panoramique et sensible sur «l'univers maritime», il se
penche chaleureusement sur Un Fleuve en Fer Forgé (Rougerie,
2003). Il met en parallèle nos enfances (la mine/la forge),
accepte avec élégance nos différences. Il ressent, il respecte,
il sourit, il ne pommade ni n'aboie. C'est un homme des terrils
qui écrit sans scorie.
Juillet 06.
Merci à Eliane Biedermann, amie des chats et des Mille et Une Nuits, de m’avoir hébergée l’espace d’un MATIN, dans la revue INTERVENTIONS A HAUTE VOIX n°38, dont elle fut responsable.
GLANES
Guénane :
Ile ? 2006 (Ed. La Porte, sur abonnement, 6 numéros, 18 euros,
Yves Perrine, 215 rue Moïse Bodhuin, 02000 Laon)
Le point d’interrogation accolé à cette nouvelle lie ouvre sur une
longue suite de questions qui s’enchaînent dans un monologue poétique.
C’est le sixième recueil de la collection Poésie en voyage que la
poète Guénane consacre à son île mystérieuse depuis 1999. Ile de
silence et de méditation, elle semble bruire de pensées. Sa liberté,
son inertie apparente l’opposent à l’agitation et à la médiocrité des
humains. Ses seuls amants l’océan et l’horizon n’en épuisent pas le
mystère. Seuls quelques initiés telle Guénane peuvent l’effleurer
grâce au miracle de la poésie : «Plonger en elle / bain de poèmes /
cela protège / des larmes sèches. / Murmurer le mot île / Et
laisser onduler l’énigme.»
Eliane Biedermann
Glanes – feuillet de poésie gratuit – 39350 Ougney
Revue Jointure N°82.
« L’Océan Te l’Apprendra » lu par Patricia Laranco (extraits).
« Quelle célébration de la mer !
Ce livre tourne autour du rapport profond qui lie l’élément marin, l’océan à la démarche du poète et à sa quête du sens de la vie. Intimité si dense, si troublante qu’elle l’émerveille sans cesse… Pour Guénane, la poésie se gagne de haute lutte, s’arrache à l’intériorité, à l’espace, au silence… Elle a une espèce de valeur sacrée, de mission libératrice, elle est l’aile qui a le pouvoir d’élever… Ce que nous propose Guénane c’est une ascèse, d’ordre spirituel… De son face à face avec la mer comme de son face à face avec le mot, l’être humain ressort décisivement lucide, donc définitivement humble… Livre fort, émouvant, sobre, d’une beauté qui sait vous toucher, voire vous remuer jusqu’aux racines de votre être. »
Une revue soignée, aux écritures triées, aux airs de liberté, aux lectures incisives ; sans compter le plaisir de lire quelques pages en V.O. (anglais, portugais, espagnol).
Dir. Francis Chenot
Thème : des îles.
De la belle ouvrage belge sur papier chaud, un numéro dense et troublant. Jeanine Baude a orchestré ce bel archipel : îles anonymes, gaéliques, homériques, îlejazz, îlecoeur, Ouessant, Groix, Sein, Molène, Île Grande, Berder, Bréhat, Corsica, chœur d’îles-sœurs.
Dir. Gérard Prémel.
La Bretagne au Monde avec, entre autres débats, nouvelles et comptes-rendus, 5 voix bretonnes féminines de langue française ; revue nourrissante et pas coinçante.
« … Guénane habite la mer, ses éléments en sont ses interrogations… Ce sont ses lieux d’amour, là où elle se recompose, s’armure pour mieux nous faire goûter « la respiration de nos propres marées…Guénane nous invite à lever l’ancre… sachant qu’il y aura toujours un phare allumé (un poème) pour guider le poète. »
Extrait des notes de lecture de Madeleine Carcano pour L’Océan te l’Apprendra- Rougerie 2005
« … Guénane continue son histoire d’amour avec l’île mystérieuse qui semble partager sa vie depuis 1999… telle un morceau d’absolu posé sur l’océan… Comme l’auteur, elle est féminine avant tout… Elle ne se laisse assujettir en aucune manière… »
« … Dans l’Océan, Guénane ouvre des passages aux lueurs essentielles… portée par une écriture concise et tendue qui fouille les nuances et les détails… dans un va-et-vient entre l’intime et l’universel… Guénane dit le bonheur et la fragilité de vivre, défie nos paroles et nos traces de papier… »
Merci
aux revues du dernier trimestre 2004:
- à « la complicité des matins » de Lieux d'Être. Le matin revient toujours mais
chaque aube est unique. 150 pages de fenêtres ouvertes.
- à l'élégante Littérales n°3 qui ose, entre autre, héberger des Poésies à deux
voix.
Au regard d'Annick Guillou « liseuse » lucide et pudique qui s'accorde si bien
au rythme de L'Océan Te L'Apprendra .
- à Spered Gouez n° 13 qui fête ses 15 ans, où chaque page devient tour ou
donjon comme autant de liens entre nous et l'univers.
Revue bulgare où j’ai quand même pu reconnaître un mot : GEHAH = Guénane.
Offre un luxueux collier de Souvenirs.
La revue a fêté ses 20 ans en 2005, sous la houlette perspicace de Madeleine Carcano et Régis Louchaert. Une revue superbe, sérieuse et surprenante.
