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1967 | 1974 | 2014 | 2020 | 2022 |
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Je bois à ma source
elle rit
sourcellerie
source sorcière de ma
mélancolie.
Imiter
le fleuve
avancer sans attendre de réponse.
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Sourcellerie fleuve-océan en rade de Lorient. |
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"...Pour
remonter à la source il faut emprunter le fleuve qui "draine les
souvenirs" ... Petite musique intérieure... "L'univers niche
/ dans des miettes de poésie fluette"...Un destin individuel
se forge aussi par les mots..."
Pierre Tanguy, septembre 2024.
Il fut journaliste, il est écrivain et poète de Bretagne.
Lire dans Des Sources et des Livres, les lectures de Pierre
Tanguy
"...
Toute poésie se soucie d'une origine, d'une source. Toute
poésie se meut en sorcellerie... Profond travail intérieur,
dans une quête de mémoire...tressage d'une douce mélancolie..."
( Extraits de la revue Rose des temps)
Patrick Picornot, poète déclamateur parisien, animateur de l'Association Parole & Poésie et de la revue Rose des temps, septembre 2024. "...Magie, sorcellerie, j'ai lu, relu Sourcellerie en entendant rouler en moi chaque note de la Moldau de Smetana..."
Corinne d'Agon de Lacontrie,
professeur de solfège et chef de chœur durant quarante ans.
27 août 2024.
"… Livre
très bien construit. On y entre par paliers et peu à peu le
courant s’amplifie et nous emporte. On se laisse embarquer par
le flux. Avec ces moments de calme dans les courbes, là où les
gerris inventent leurs étranges sautillantes chorégraphies. Le
dernier texte, en prose, est très beau. Tout est dit. Il nous
incite à reprendre la lecture dès le début et c’est une belle
façon de boucler la boucle. C’est un plaisir de lecture." |
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Guénane/ Sourcellerie/Lecture de Marie-Hélène Prouteau "...Sourcellerie offre une longue dérive méditative...Le recueil prend la forme d'une remontée pure vers la révélation originale des lointains de l'enfance... Une belle leçon d'attention fervente au monde et d'exemplaire liberté...laissons-nous porter par cette poésie sorcière pour opérer, chacun notre remontée du fleuve et de ses révélations existentielles." Marie-Hélène Prouteau est critique littéraire et écrivain, elle a la sensibilité d'une exploratrice songeuse. Lire l'intégralité sur le blog de la revue Terres de Femmes, 22 mai 2024. | |||
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"Un vent de poésie souffle sur le Finistère". J-M
Pinson présente le dernier ouvrage de G Le Gouic, P Moazon, G
Baudry, P Tanguy et... Sourcellerie ! Il se laisse emporter "La poésie ne connaît pas de frontière. Le pays de Lorient n'est pas loin de notre Finistère... il s'est laissé porter par le fleuve, de la source à l'océan." Jean-Marc Pinson, journaliste à Ouest-France Quimper, dimanche 28 avril 2024 |
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Chamane (bien plus que sorcière) de la nature, Guénane donne joie et beauté à la sensation poétique... elle tresse sa propre langue sans artifices... Preuve qu'une telle poésie est rare et universelle : la simplicité devient la complexité, pour connaître l'intensité de ce qui est... la joie de créer devient intuitive et prégnante en une écriture d'exception." | ||
"...Doux
parfum d'antan des vrais livres à découper... Une
mélancolie charnelle, empreinte pour moi d'une forme
de saudade..." André Jolly, franco-brésilien, spécialiste de l'art contemporain au Bénin, avril 2024. (Précision : mot portugais intraduisible, la saudade fait mal mais on l'aime.)
Guénane sur le fleuve de la vie ( linternaute.com )
"...Une écriture rare. Discrète, impitoyable et non sans humour, elle fait entendre le concerto déconcertant de l'océan humain. ... Ce livre - comme ses autres - devient le fruit de la découverte empirique et de la réflexion...Son apesanteur répond à la lourdeur du monde..."
Jean-Paul Gavard-Perret,
poète, critique littéraire et critique d'art
contemporain.
"...Il
faut oser les sauts arrière / dans l’étoupe des souvenirs,
Guénane dans son dernier livre va puiser sa sève à la source
du Blavet. Ce fleuve qui l’a vue naître est son fil d’Ariane
pour remonter le labyrinthe de sa mémoire... il lui a permis
de s’émanciper, de se construire en sautant les écluses de
l’interdit, des convenances et de la morale pour gagner les
eaux aventurières du large... il est le viatique de son
écriture. Son eau et l’encre de ses textes s’entrelacent et
sont complices de sa mélancolie donnant du swing à son poème
ponctué d’ironie où affleurent les jeux de mots et les iris
du fleuve rejoignent les iris de son regard sur son passé et
notre monde…"
"…
Sourcellerie a ravivé mes souvenirs. Le rythme des marées
m’a bercée… je le sens encore directement sur ma peau…" "J'ai ouvert le recueil et n'ai pas lâché le fil d'Ariane, ce fil qui vous a permis de suivre, sans vous perdre, les méandres du fleuve et de l'enfance, comme vous l'écrivez si justement, et qui vous permet, aujourd'hui, d'avoir cette distance et cette mélancolie qui teinte, d'une douceur toute automnale, votre regard sur le passé et votre vie en général."
Une phrase, un fil... Yves
Loisel, chroniqueur littéraire ER toujours attentif, et
biographe, 8 mars 2024.
"La
mélancolie serait-elle la mère de la poésie ? Elle
règne sur la source d'où coule le fleuve des mots...
Sourcière de l'œuvre que porte le mémoire, mais avec un peu
d'humour dans l'eau froide."
Gilles Plazy, poète, essayiste,
plasticien... Il a tous les talents avec humour, 2 mars
2024.
"...Non,
pas le spleen, la neurasthénie, les papillons noirs, dans
Sourcellerie la mélancolie tient de la grandeur de l'esprit..."
Jean-Pierre Causse, angliciste
auteur du Dictionnaire des Vrais Amis, 2 mars 2024.
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Pas de Côté, Editions Sauvages, collection Askell, 2022.
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Le Printemps des Poètes aime rebondir,
il a bien voulu accueillir ce Pas de côté.
http://www.printempsdespoetes.com/Pas-de-cote
"...
Faire un pas de côté, c'est d'abord aller voir
ce qui ne saute pas aux yeux... Les chemins de
Guénane sont faits de terre et de sable...
Attentive, elle médite... La rencontre avec la
nature est une rencontre avec elle-même... Et,
sans faiblir, il s'agit de persévérer..."
Pierre Tanguy, écrivain et poète grand lecteur,
octobre 2022.
Lire l'article
dans : Pierre Tanguy I Lectures I Recensions
ou la revue Diérèse.
"...
La poésie s'amuse, ondule, frôle, dételle les
entraves, jaillit, revitalise, cimente les
affres...Étrange ballet entre les enchantements
et l'œil vivace ( ou vorace ) du poète toujours
à l'affût." Gérard Paris,
chroniqueur attentif et poète, août 2022.
"C'est une plongée dans la nature sauvage des bords de mer bretons, où la métaphysique côtoie au sens propre la physique des rochers, des vagues, des arbres et des grands voiliers du ciel... pour vous ramener aux interrogations essentielles sur votre humanité vraie, sur notre avenir à tous sur terre..."
Dana Shishmanian,
poète, revue Francopolis, septembre 2022.
"C'est
un recueil qui témoigne d'un certain recul...La poète
disparaît dans tout ce qui l'entoure et l'environne...
L'océan omniprésent demeure un énorme réservoir à
méditation... C'est la poésie entre tripe et coeur...Espoir
et beauté résument ce nouveau recueil de Guénane."
"...Lecture
apaisante, contemplation et réconciliation, un régal..."
Cécile Carpentier, fine musicologue, septembre 2022
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En écho, en réponse, "Grève et sa dentelle d'écume", petite aquarelle de Nicole Canihac, lectrice talentueuse |
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"...
J'ai franchi ce Pas de côté avec bonheur... J'aime à me
laisser emporter par votre poésie, vos mots... Quelques
petits nuages en écho."
Patrice Bénassy, artiste rochelais qui cherche dans la vie des "présences silencieuses", 27 août 2022. ![]() ![]() ![]() "... Marcher pour se rapprocher de soi-même, de l'essentiel... En faisant ce pas de côté vers des chemins parallèles, Guénane nous invite à perdre le fil, à chambouler tout bon sens... Comme souvent dans ses ouvrages, elle sait se trouver au point de jonction exact entre les mondes animal, végétal et minéral, avec en plus l'humilité et l'intelligence à la fois de Passer sa vie à apprendre à vivre." Denis Heudré, poète, extraits d'une note de lecture partagée sur Babelio, juillet 2022. "...J'ai pris le temps de lire et savourer "Pas de côté". J'y ai retrouvé cet accent, ce ton qui vous est propre, un timbre bien particulier qui vient aussi du corps à corps que vous entretenez avec les mots. A cet égard, votre recueil est, ici et là, comme un écho à d'autres ouvrages tels "Les Yeux d'Argos", "Poing d'ombre"... Signe d'une belle cohérence dans votre parcours et vos préoccupations. J'ai aussi aimé la bibliographie commentée en fin de volume. Elle offre un éclairage pertinent sur votre univers. Enfin j'ai gravé dans ma mémoire cette question que vous posez : "Pourquoi vouloir laisser des traces?" Quelle question ! Elle peut plonger le lecteur dans des abîmes de perplexité et de méditation ! ..."
Yves Loisel, biographe et
journaliste ER. Longtemps il chroniqua au Télégramme
avec lucidité. 12 juin 2022.
"... Oui, pourquoi aurions-nous toujours les pieds sur terre ?... Plaisir de lire ces poèmes joliment accompagnés d'images... Faire un pas de côté mais bien choisir le côté si le chemin va en corniche au-dessus de quelque abîme, à moins d'être doué d'une paire d'ailes..."
Gilles Plazy, poète qui, en ses riches heures,
s'élance entre ciel et océan. 16 mai 2022 à 19 h 14.
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Patagonie secrète / Patagonia secreta, Editions Travesías, février 2022.
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Quand les
continents se rejoignent :
"Bel
objet. Bel hommage au peuple Tehuelche au
travers de cette légende et magnifique évocation
des lieux où ils vécurent... Des souvenirs
parallèles remontent. En Namibie, les Bushmen
ont gravé et peint sur les murailles des vallées...
ils ont laissé l'empreinte obstinée d'une
civilisation que les envahisseurs ont anéantie
en quelques dizaines d'années...Merci pour ce
précieux livre et le voyage qu'il a suscité dans
l'archéologie de mes souvenirs..."
André Jolly,
spécialiste de l'art contemporain au Bénin et
commissaire d'expositions, 21 avril, 2022.
"...
Publier des livres qui cartonnent, quelle bonne
idée !..."
Note d'humour de
Gilles Plazy, poète, essayiste, critique d'art,
plasticien... 13 avril 2022 à 19h05.
"... Merveilleuse simplicité, typographie agréable. Original, ce nouvel opus attire l'œil. Il a bien des charmes ! J'ai appris l'existence des Tehuelches et des calafates. Encore un livre qui sort de l'ordinaire, ce qui fait du bien. Ces immensités vous conviennent et vous savez trouver les mots pour en parler..."
Yves Loisel,
journaliste-chroniqueur littéraire ER et biographe
de Xavier Grall, Louis Guilloux, Michel Mohrt, 11
avril 2022.
"...
J'ai pris grand plaisir à lire cette mythologie des
Tehuelches... J'aime l'imaginaire et la poésie de
ces contes, particulièrement quand " l'être suprême",
d'un preste moulinet, déchire l'obscurité...le
soleil était né... Enfin, ces Nuages, fabuleux
nuages où Teo, UNE nuage, s'est assoupie dans les
nues, c'est magique !"
Patrice Benassy,
artiste peintre à La Rochelle, lumineux laboureur
d'estrans et de nuages, 5 avril 2022.
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Pierres de Silence, 2020.
Livre d'artiste, texte accompagné de cinq monotypes de Marie Thamin.
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Que ce
soit la pierre ou toi |
Ta Fleur de l'Âge, Éditions Rougerie, juin 2019.
pour fêter Résurgences, juin 1969,
Editions Rougerie.
Chacun sait au fond de lui
combien il a vécu de vies
combien de fois il a fleuri.
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Ecrire c'est faire des vagues incohérentes complices...
|
![]() 2020 |
" Clin d'œil océanique " de Cécile Windeck. |
||
"… Faire vibrer ce qui résiste encore… … Il faut savoir faire avec ses démons coriaces tout en rêvant de couper les ailes aux pendules. Ou si l’on préfère, changer d’heure, passer de celle d’avoir été à celle de perdurer avant que les temps d’apocalypse enserrent. Avec un peu de chance nous partirons avant. Et avec un peu plus encore, la poésie pourrait changer le monde. Humains, mes semblables, frères et sœurs d’un même lit défait, encore un effort. Il suffirait à chacun de lire quelques pages qui consentent à l’existence. Celles de ce livre de folle sagesse par exemple. C’est une petite merveille." Jean-Paul Gavard-Perret, le 28 octobre 2019 à 8h07.
|
||
"L'œuvre de Guénane, à l'image de sa vie,
développe plusieurs identités successives...
Dans ce dernier recueil, elle effectue un bilan,
comme un état des lieux avec quelques points
d'ancrage... Fuyant l'emphase et les enluminures...
elle suit sa voie... montrant au plus profond
d'elle-même ce vitrail bariolé: l'essence
fondamentale de l'être..."
Gérard Paris lit et chronique avec plaisir. Sa note est parue dans Le Journal des Poètes, rubrique A livre ouvert, septembre 2020. "Femme et poète, Guénane porte une voix originale dans la création poétique bretonne. Elle peut aussi bien vous parler de la Patagonie que des îles bretonnes, mais, de recueil en recueil, elle distille subtilement des messages de sagesse. Et c'est à nouveau le cas dans son dernier livre... Hymne à la vie...à la poésie..."
Pierre Tanguy,
écrivain, poète, aime le vécu, la vie l'inspire,
il scrute. Sa note de lecture est à lire dans
Recours au poème, 20 décembre 2019.
"Ce livre marque de la meilleure façon une présence et une fidélité assez exceptionnelle à un même éditeur ( fidélité non exclusive ! ) Souffler sur les derniers feux... cette perspective n'entraîne aucun apitoiement sur son sort... ce qui frappe c'est la vigueur de l'expression..."
Claude Vercey, I.D n° 837 de Décharge, 20 août 2019.
Voir le lien dans Revues.
"...Beau recueil qui sent l'édition à l'ancienne... La vie s'arrête à seize ans... heureusement on peut avoir plusieurs fois seize ans... C'est la seule façon de rester vivant, dans l'intensité et le mettre en pages est une caution d'authenticité réconfortante..."
Jean Emelina,
universitaire niçois ER, essayiste, romancier, 31
juillet 2019
"D'abord le plaisir - parfaitement démodé - de découper les pages et de savourer le bruit du papier qui s'ouvre à la curiosité... J'ai refermé Ta fleur de l'âge avec l'envie de reprendre d'autres recueils, tant ils semblent se répondre, s'interpénétrer... Comme si d'un livre l'autre, l'un annonçait l'autre... C'est dire, je crois, que vous avez fait œuvre poétique... Poésie forte, riche... contours précis marqués parfois par l'audace... dernière page bouleversante..."
Yves Loisel, journaliste ER et
biographe. 20 juillet 2019.
"...
Rougerie, beaux livres à découper, typographie à l'ancienne...
Dans cette suite de poèmes, le hic et nunc s'instaure en
diluant l'instant dans le temps hors mémoire... La poésie
chante le blues... Le soleil et l'océan sont là, avec nous,
pour nous, dans l'harmonie... La fleur épanouie de l'âge
n'est pas de celles qui fanent..."
Gilles Plazy, poète, écrivain,
essayiste, éditeur... 16 juillet 2019.
"... A
chaque page j'ai réfléchi avec délectation... Je retiens
cette belle définition : Poésie / infini métier à tisser /
le textile de nos vies. A relire et relire sous mon olivier..."
Jean-Pierre Causse, angliciste,
15 juillet 2019.
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Ma Patagonie, La Sirène étoilée,
novembre 2017.
Illustrations Gilles Plazy.
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Patagonie est un mot qui résonne
comme un étrange lointain.
Chacun porte en lui des espaces
qui le lient, le relient ; à chacun sa Patagonie.
Le loin demeure ce lieu mystérieux,
cette lueur magnétique qui palpite au plus profond de nous.
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A l'Ivraie, turbulent et dynamique café librairie de Douarnenez, on lit même de la poésie. Les 1er et 15 juin 2019, le Collectif 30 minutes d'insomnie a ouvert l'air de la baie au vent de Ma Patagonie. Deux voix et une contrebasse en juste résonance, Jacques Vincent et ses amis ont osé.
https://30minutesdinsomnie.
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"...
Guénane pointe du doigt les menaces qui pèsent sur
ce territoire... les périls d'aujourd'hui et les
turpitudes contemporaines... elle ne verse jamais
dans la poésie dite engagée... elle nous dit d'abord
sa Patagonie intérieure... très loin de l'exotisme
et plus proche de l'écologie intime..."
Pierre Tanguy sait les secrets des lieux et des êtres, il sait les bords du monde et nos abîmes. Sa note de lecture est à retrouver dans le numéro de juillet 2018 de la revue Hopala ! La Bretagne au monde. "...Ce recueil poignant est un hommage à une terre et à ses habitants disparus... L'auteur s'incline avec humilité et une grande sensibilité... sans tomber dans l'aveuglement d'un romantise exacerbé... sa lucidité est vive et aiguisée comme le vent d'été austral..."
Cathy Garcia ( qui a presque
tous les talents ) a écouté mugir les mots de Ma
Patagonie. Lire sa note de lecture sur son blog aux
mille tiroirs, dans Littérature, poésie et autre. 25
mai 2018. http://cathygarcia.
" ... Un recueil si pur... Vouloir tenir le cap sur la route de nos rêves... Le monde a besoin de la beauté, ce recueil lui en insuffle..."
Filomena Iooss, professeur à
l'université de Nice et Présidente de l'Association
Brasil Azur, 17 avril 2018.
www.brasilazur.com
«...Guénane revendique une place parmi les solitaires, ceux et celles qu'elle désigne comme " les rêveurs de rupture", voire " les soiffards d'horizon "...»
Claude Vercey, poète, chroniqueur,
dramaturge, a pris la route de la Patagonie sur
radio Grandciel, samedi
27 janvier 2018 (à partir de la 32ième minute).
"...C'est une
ode à la liberté... Guénane ne se contente pas de décrire...
Elle entend aller plus loin que les apparences... C'est un
carnet de bord de son exploration..." "... Cette
Patagonie-là vit, elle touche au cœur tant est
perceptible l'envie, le plaisir de partager..." "... Du souffle, de belles formules sans oublier le côté grinçant... En ces temps maussades, ça m'a fait du bien de lire cette Patagonie-là..." Olivier Rougerie, éditeur, 15 décembre 2017. "... La poésie est
décidément votre "lieu", votre univers littéraire. L'Amérique du
Sud, comme les îles, vous va comme un gant, dirait-on... Leurs
marques sont en vous, vous êtes imprimée... Curieux, la poésie
que vous publiez chez Rougerie est plus personnelle, intime....
Double face..." |
Tangerine éclatée, La Porte, 2017.
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Tangerine couleur flamme
mandarine éclatée
neuf quartiers
neuf îles
ensemble éparpillées
l'océan chahute entre elles
Une île a toujours l'air
tombée du ciel
jetée par lubie divine.
|
|
Du Lot,
Cathy Garcia Canalès entend aussi l'appel océanique et enlace sa
voix un peu lasse aux îles açoriennes. "...
Fille de Vulcain et de Bachelard, Guénane entame sa symphonie entre
l'air, la terre et le feu...elle évalue l'importance des mémoires
empilées, bosselées et assoupies...Mais outre l'angoisse du
provisoire, Guénane a saisi en poète les symphonies du paysage..." "... Guénane évite la poésie
touristique ou descriptive... Elle sait écrire de façon imagée la
nature par l'élégance de sa poésie... Elle s'intéresse à la réalité
pour la transfigurer..." "... Minutie du regard,
désir de saisir le réel dans la plus grande simplicité, métaphores
creusant la matière...chamaillerie géographique entre l'eau et le
feu... c'est un peu la fable de notre existence, danser au-dessus du
volcan..." |
Atacama, La Sirène étoilée, septembre 2016.
|
Nos traces ont-elles une mémoire sans fin ni fil ? Guénane a sillonné deux fois les Andes arides, le désert d'Atacama, à trente-cinq ans d'intervalle; un désert aussi mouvant que les souvenirs. L'émotion d'un retour est un subtil stimulant. Il faut que le passé se tapisse pour laisser le surnaturel entrer et succomber encore au vertige d'un chef d'œuvre naturel.
Atacama est lisible sur Calameo :
|
|
Entendre la multitalentueuse Cathy Garcia. Dans sa voix sans
emphase s'étend l' Atacama. https://youtu.be/MaVjpmUf6jQ
"...
C"est sec, salé, vivant...Voyage sur le fil. Tout cela me parle..."
Jacques Josse, poète, décembre 2017. |
||
"...A
qui s'adresse donc cette voix de carnet de croquis? Pas à
moi frontalement et je m'y suis pourtant pris. Le poème m'a
toujours repris à lui, proximité et distance alternées, par
le tissage serré des mots, la profusion et la rudesse...
Atacama secoue bien l'organisme..."
"...Force
et justesse, on a l'impression de parcourir l'Atacama. On
est pris de vertige, à la fois envoûté et dérouté... Les
illustrations sobres de Gilles Plazy accompagnent avec
cohérence les textes prégnants, poignants... Hébétude,
béatitude, l'éternité en raccourci, au bord sans bord de "l'origine
du monde
"... "...Le désert, à
croire que vous y êtes née... Rien de ses réalités ne vous
échappe... |
||
"...La
voyageuse nous fait pénétrer dans " les strates du temps ".
Désert d'Atacama, un livre ouvert que déchiffre la poète à
l'écoute de cet animisme relié aux êtres et aux forces de
l'univers...Les mains dans le sable, le regard dans les
étoiles, Guénane nous livre ici un recueil où d'anciennes
douleurs se mêlent à la sérénité sidérale..."
Marie-Hélène Prouteau, romancière,
poète, essayiste, pour Terres de Femmes, la revue numérique
de la poète Angèle Paoli, le 17 octobre 2016.
Lire l'intégralité dans le N° 143 http://terresdefemmes.blogs.com
"...L'Atacama
et ses teintes surréalistes...La jeep dans le sable brûlant, le
Padre Le Paige et ses momies en attente dans des corbeilles...
Merci de me replonger dans un passé qui m'est cher, pour ce
pouvoir de jongler avec les mots et exprimer aussi fort ce que
j'ai ressenti, vécu, au Chili. Merci de l'avoir fait pour moi..."
"...Guénane nous
entraîne à travers l' Atacama...sur ce chemin nous la suivons et
plaçons son recueil à la Une du jour, sur : www.dechargelarevue.com I.D
n° 655 Vision soudaine de l'éternité. Laissons-nous
conduire à travers le désert, les sensations qu'il éveille,
l'état étrange de somnambulisme qu'il procure..."
Claude Vercey n'a pas craint le voyage, 14
octobre 2016.
|
||
"...Replonger dans
la sécheresse du silence / les plaintes étouffées..." je
vous suis, en confiance... J'aime cette collection - La Sirène
étoilée - à la devise qui vous va si bien : A l'ordinaire nul
n'est tenu - Oui, en toute vie des parenthèses ne cessent de
palpiter et
j'aime celles que vous ouvrez..."
Yves Perrine (qui n'aime pas être mis en
lumière mais œuvre pour la poésie depuis presque 20 ans ) 5
octobre 2016.
|
||
"...
Ce qui frappe dans ce recueil, c'est la force des mots, un réel
pouvoir, ils sont des armes, des rayons X... Ici l'écrit crie
plus fort que les images..."
J.P.Causse,
angliciste, 19 septembre 2016.
|
Le Détroit des Dieux, La Porte, août 2016.
|
Les Dieux pleurent-ils ?
Ils devraient.
Chaque heure invente
l'avenir
dans quel sens vont ici les
aiguilles ?
Mer Océan
rien n'explique les couples
improbables
la magie aime
l'inconciliable.
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"...
Ce n'est pas une simple évocation du lieu géographique...
notations historiques, religieuses, mythologiques...
Gibraltar n'est qu'une barrière symbolique entre l'Europe et
l'Afrique... On peut donc lire Le Détroit des Dieux de
différentes façons..."
Lucien Wasselin, octobre 2016, pour la revue Texture.
"...Cet
infini en nous... cette " hostilité magique " à "lire" dans
le dialogue cosmique de la lune et de l'océan vociférant,
insoumis, insomniaque... jusqu'à ce point d'orgue de fugue
en ré " pour une vie meilleure ". "Deux solitaires traînent
leur ombre sur l'estran "... Nous, peut-être? les poètes,
les artistes savent attendre et contempler jusqu'à
l'insignifiant..." "Détroit coincé
entre mer plate et furieux océan... Les forces vitales de l'un
m'attirent aussi plus que la morne mer presque morte...Vive
l'Atlantique !..."
"Les Dieux ne sont
pas à l'étroit dans Le Détroit puisque l'auteur y a du souffle !"
Gilles Plazy, écrivain, plasticien, éditeur
de La Sirène étoilée, 5 septembre 2016.
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La Sagesse est toujours en retard. Éditions Rougerie, mars 2016.
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Subtil sautillant humour mon bel humour reste prince et charmant au coin du sourire reste en piste pour l'envol je ne me lime les incisives. |
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"... Le
poète s'essaie à l'art subtil de vivre avec soi-même...
Sachant que notre seule arme c'est la vie, se servant de
l'humour face à la souffrance, Guénane à l'aide de mots
ailés, de mots infidèles, s'acharne à dénouer les nœuds..."
Extrait d'une note de lecture de Gérard Paris, parue
dans la revue Les Hommes sans Epaules, n° 43, février
2017.
"Hors mode, la
poésie de Guénane est d'existence. Etre n'y est pas le
simple supplétif à avoir... Le livre devient sans le vouloir
le parfait remède à la solitude qui saisit tant de gens
égarés...Preuve que la poésie est une forme certes modeste
de résistance." "Réflexions sur l'écriture poétique ou sur la vie ? Art poétique ou art de vivre ( en poésie) ? Les deux à la fois sans doute..."
Lire l'article de Lucien Wasselin dans
Revues, juillet 2016, sur le site revue-texture.fr
"...Guénane se qualifie de "rétive" et signifie que si la sagesse doit arriver, elle arrivera après, lorsqu'elle aura perdu toute énergie, la chose la mieux partagée de ce recueil" Lire l'article de Jacques Morin dans Revues, Décharge 170, juin 2016 |
||
"Souviens-toi
quand tu trébuches / du temps où tu marchais sur le feu" ...j'aime
votre univers, j'aime la surprise que créent les mots, les idées,
j'aime " les matins aussi friables que nos coquilles"...des mots
simples, ceux qu'il faut...un livre de poésie, de réflexion, un
livre qui élève..."
Yves Perrine, l'éditeur de La Porte,
16 avril 2016. |
||
"...une
voix océane muscle le propos...L'âge a son mot à dire et le dit
fortement; j'aime..." Max Pons qui espère voir
paraître le n° 100 de la belle Barbacane pour boucler l'aventure, 7
avril 2016. |
||
"...C'est
un fameux recueil ! Une poésie forte, puissante, surgie (et
mûrie) des profondeurs de l'être. Une poésie riche de toute une
expérience de vie, un témoignage marqué du sceau de
l'authenticité....Un uppercut par page ! Vous ne trichez pas :
c'est votre marque de fabrique. Un ton, percutant, une langue,
précise, tranchante, concrète et imagée qui n'appartient qu'à
vous...Votre recueil donne envie de relire les précédents, ce
n'est pas si fréquent..." |
||
Au-delà du bout du monde. Éditions La Porte, septembre 2015.
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Laissez-là toute réticence c'est une aspiration soyez prêt pour l'offrande. L'aube sort son stylet et perfore la nuit inaboutie. Sur les portulans autrefois était écrit en grand : BROUILLARDS avons-nous depuis appris à voir? |
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"Chaluter les mots", les mots d'un voyage intérieur... en attendant d'être chaluté vers l'inconnu...cette voix océane en attendant l'échéance..." dit Max Pons du pays calcaire, 22 octobre 2015. | ||
«"Au-delà du bout du monde", c'est bien là en effet que vous emmenez votre lecteur et même plus loin encore ! Quel voyage ! Le grand tremblement des Cinquantièmes rugissants et l'immense remuement intérieur qu'il entraîne... Une fois encore j'ai été sensible à ce qui se dégage de votre recueil...il m'a plongé dans un abîme de songerie : "A quand remonte la souffrance du monde ?", "Et vous, quelles traces laisserez-vous ?"...» Yves Loisel, journaliste ER et biographe, 8 octobre 2015. |
L'Approche de Minorque. Éditions La Porte, 2014.
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Minorque se fait belle
quand de l'été elle se débarbouille
se déshabille
et suit le soleil avec ingénuité.
Minorque a inventé le printemps de
l'hiver.
Les îles troublent les saisons.
En nous brûle une geôle
où chacun se sent plus grand que soi
Minorque
tu es plus grande que tu ne crois.
Minorque
tu es une mine de points d'orgue.
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Calescoves, nécropole préhistorique, 90 grottes. | ||
17 janvier 2015.
Est-ce parce que Lucien Wasselin, critique,
est aussi poète que ses approches sont si minutieuses?
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"...Minorque est pleine de
parfums et de couleurs. Dans les îles, bretonnes ou plus exotiques,
vous avez tous vos sens en alerte, plus l'intuition, la faculté
d'humer les atmosphères. Les îles vous réussissent et vous les
servez avec talent. La Porte vous a résolument ouvert de vastes
horizons marins et le format de la collection se prête bien à ce
genre de méditation/contemplation..." |
Un Rendez-vous avec la dune. Mai 2014, Éditions Rougerie.
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Quand le doute est fatigué
il te laisse affirmer.
Ceux qui savent jamais ne craignent le
silence.
Vorace
le cœur prend ses aises
le cerveau se noie dans le bleu roi.
On se sent à sa place quand on ne se
voit pas.
Je flâne
luxe
j'emploie du temps
ses glanes me lustrent.
Sauter sans peur
à pieds joints dans sa mémoire.
Même toi tu dois
déchiffrer sur toi
ce passé inscrit en braille.
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Quand La Dune rencontre La Plage de
Patrice Benassy, artiste rochelais qui chevauche les estrans et se
saoule de nuances atlantiques. Juillet 2014. |
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pbenassy.free.fr | ||
"... Poésie et
musique étant deux arts proches et essentiels, c'est sur une
musique de Satie que j'ai ouvert votre livre. Dès les premières
pages/notes de musique, j'ai été emporté par ces touches
impressionnistes, le monde hors du temps des dunes et de l'océan...
Ces lieux qui accueillirent les débuts de la vie nous renvoient
à nous-mêmes..."
Philippe Henry, musicien, 12 octobre 2016.
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Lucien Noullez, poète belge, critique
littéraire, vit de musique, de poésie, de ferveur; il a pris
rendez-vous avec la dune.
"Ce fervent recueil
rend hommage au silence... ce qui fonde la vie échappe à la
parole... Je trahirais ce livre si j'en extrayais, en si peu
d'espace, seulement quelques pépites. Il rejoindra tous ceux
pour qui la poésie n'est pas un jeu..."
Extrait du Journal des Poètes, 4e trimestre
2015.
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Pierre Tanguy, poète chroniqueur,
a pris Un rendez-vous avec la dune dans sa moisson d'automne: |
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"
D'où vient cette dune qui traverse le récent
recueil de Guénane de la première à la dernière page? De l'enfance
sans doute mais aussi du présent...L'occasion de retrouver un
contact quasi-charnel avec le monde... Tout cela ne va pas sans
gravité ni interrogations... L'être humain entre la terre et le ciel...
"prendre racine à l'envers / dans la lumière." C'est toute l'humaine
condition qui se dit dans ce mouvement..." Lire l'intégralité de cet article en ligne dans la Revue Texture, les critiques de Lucien Wasselin, Chemins de lecture, 28 septembre 2014. Pugnace poète et chroniqueur randonneur, Lucien Wasselin arpente les mille et un chemins des arts. |
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Merci à Claude Vercey d'avoir fait un "écart",
d'avoir inscrit Un Rendez-Vous avec la dune sur sa voie verte.
"...Le poèmes est
serré, impérieux, rugueux: l'expression joue sur les
homophonies, roule des allitérations; une impatience mal
contenue est sous-jacente, une exaspération que le lieu sait
apaiser: il s'agit néanmoins d'entretenir un cœur moqueur, afin
d'écharper les inepties: la parole est directe, accrocheuse,
ironique: le poème volontiers se fait précepte, le vers
impératif..."
Lire l'intégralité dans les Itinéraires de
Délestage, ID n° 520 de la revue Décharge, août 2014.
|
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Lire aussi comment Jacques Morin a capté la dune dans Revues, extrait du n° 163 de Décharge. | ||
"... Très beau poème de maturité, à lire à haute voix; ce que je fais...L'invite au Rendez-Vous me comble...et puis il y a cette impression style Rougerie, une douce mélancolie. On en redemande!..." Max Pons de la Barbacane, 8 juillet 2014. |
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« Un Rendez-vous avec la dune. Ce
n'est pas rien l'arrivée d'un livre comme celui-ci !
Que le livre ne meure! Merci Yves Perrine. Depuis presque 20 ans il coud des livrets, ouvre La Porte et la Poésie -part- en Voyage... |
||
"... Quel
contraste avec Copacabana! On en viendrait presque à vous
remercier de nous offrir ce repos contemplatif après le tumulte
sentimental du roman! Qu'il est doux de se poser sur la dune,
de se reposer sur l'île ouverte au large, aux rêves et aux pensées!
Voilà, encore une fois, un bel éloge du silence, des îles et de
l'introspection... Avec ces deux livres, vous apparaissez bien
comme une mosaïque colorée, un puzzle, bref un être humain, en fin
de compte!" |
Clin d'Yeu, La Porte, septembre 2013
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Insula Oya Insula Gemella Les imaginations ont fort à faire l'île manie la langue de pierre. |
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Jacmo, délicat sous ses lunettes noires, a tout dit en quelques lignes, en voici quelques mots: "... Les amoureux de la mer y trouveront leur compte, les aspirants insulaires y trouveront leur conte... Ce recueil mouille le regard du continental." Jacques Morin, Décharges n° 161, février 2014; dernier recueil paru: Sans légende, éd.Rhubarbe; entre les pages 30 et 90, en plein cœur j'ai pris une claque; ce n'est ni une image ni une légende, les mots sont justes et à leur place; il fallait l'oser, pour ceux qui savent que jamais la "saignée" ne s'efface. |
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Note de lecture de Pierre Tanguy,
poète délicat et critique littéraire minutieux, longtemps
chroniqueur à Ouest-France. Novembre 2013.
Lire la chronique dans Recours au Poème, sommaire 76, 28 novembre 2013. |
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« … Je lis Clin d'Yeu sous l'olivier et me voilà dans la houle de l'océan, je lis, je rêve, même la traction noire passe le pont-levis, je me dis que cette petite Porte est fuente de felicidad … » Jean-Pierre Causse angliciste méditerranéen, 3 septembre 2013.
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Sépulture du silence / Sepultura del silencio, juillet
2013
Edition bilingue franco-espagnole, Littérales - Brest
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![]() Sculpture de Michel Le Sage. |
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"L'œuvre de Guénane n'en
finit pas de s'épaissir, de se diversifier... ce recueil dépasse la
confession intime... nous approchons sans cesse du sacré... chemins,
rêves et réminiscences se mêlent dans la Sépulture du silence." Extrait de la note de lecture de Gérard Paris, Les Hommes sans épaules n° 37, février 2014. |
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"... Et je lis en espagnol, double régal... Ce sont des tableaux, vos poèmes, c'est aussi de la musique. Cela me rappelle Picasso qui disait en substance que la peinture n'était jamais de la prose; qu'elle était écrite en vers avec des rimes plastiques..." J-P Causse, angliciste, 25 juillet 2013. |
APPEL D'AIR, juillet 2012
Livre d'artiste
texte accompagné de 4 gravures au carborundum et pointe sèche
de Marie-Hélène Lorcy
éditions Thamé.
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Une aube embrumée nous accueille en complices nous donne le temps d'inventer la teinte du jour.
Sur l'océan
toute histoire devient floue
Océan |
Venise Ruse, juin 2012, La Porte.
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La nuit je porte
un masque de chatte
en papier mâché.
Venise est de ces secrets
que l'on n'avoue pas même à soi.
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Venise souvenez-vous d'Ys avant que les bouches d'égout n'engloutissent vos souvenirs sérénissimes. |
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Gérard Paris, inspiré par la Dogaresse, a chroniqué
Venise Ruse: "...Il s'agit à la fois pour Guénane de fouiller l'histoire et ses masques... toute fascinée qu'elle est par ses attirances et ses répulsions... Laissons glisser notre regard sur les coupoles, les campaniles... errons dans le dédale de nos souvenirs et célébrons, une fois encore, notre épouse Venise..." Revue Littérales N° 10 Litterales sur Facebook. |
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Lucien Wasselin a lu Venise ruse: "Venise diverse, changeante et insaisissable. Il faut avoir vu Venise pour s'en convaincre, avoir quitté les lieux touristiques, avoir fui ces moments où la foule se presse...pour découvrir Venise qui, comme Janus, a deux visages. C'est ce que fait Guénane avec cette suite de brefs poèmes...Guénane jette les masques..." A lire dans Chemins de lecture 2013. Revue Texture |
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"...Proie
dans vos mâchoires et vos griffes, votre Venise en sort broyée,
déchiquetée, éviscérée...pas étonnant qu'elle cherche à
s'engloutir pour vous échapper! Le début assez serein s'efface
au profit d'un face à face..."
Yves Loisel, auteur de deux biographies, Xavier Grall et Louis Guilloux, et de Voix et Visages. |
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"...La périlleuse, la furtive, la libertaire, la radieuse...J'ai
peur des masques, je ne sais pourquoi, et Venise me fait peur,
pourquoi?..." Jean-Pierre Causse, auteur d'un dictionnaire des Vrais Amis Français-Anglais. |
Les Veines du silence. Décembre
2011![]() |
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Collection (11x5,5) dirigée par Michel Sottet. |
La ville secrète. Avril 2011, Éditions Rougerie.
2010
Hoedic (Caneton). Septembre 2010, éditions La Porte.
D'île en île perles qu'on enfile et porte en sautoir au plus près du coeur J'ose Caneton t'ajouter à mes balises. Au ras des flots la lumière intimide. |
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![]() Dessin-aquarelle, copyright 1925, Georges Redon. |
En toute fleur des dunes une ardeur intérieure. L'île est un bouquet revenant de l'enfance. |
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Dénicher les abris sableux les échancrures nacrées s'allonger sur la courbe de la Plage Bleue sentir l'océan lascif vous tourner autour. Un silence venu de loin trouve enfin asile en nous. |
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«... Hoedic, onzième recueil insulaire... petits îlots dans l'océan de l'édition... 32 pages de "poésie en voyage" à glisser absolument dans votre sac. Qui vient en Bretagne remplit sa cargaison d'images. Qui vient sur une île bretonne, fait respirer son âme. Alors, abordez avec Guénane, ces îles subtiles pour "naviguer juste en vous et que ce rien vous éblouisse.» Denis Heudré (http://denisheudre.free.fr). "...Ce n'est pas évident d'écrire sur les îles car les
poètes sont persuadés que c'est là un "thème" particulièrement poétique!
... Je n'ai trouvé dans Caneton ni mièvrerie, ni poetpoèterie, ni
lyrisme mou..." Marc Le Gros, né d'une île, poète en voyage et
géographe des oiseaux. Dernier ouvrage paru, 3 Lointains avec oiseaux,
gravures de Maya Mémin, Apogée 2010. |
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Gérard PARIS Sensible et minutieux chroniqueur. Traction Brabant 41. |
21 poètes de Bretagne,
traduction de Rüdiger Fischer, sensible, tenace et compétent.
2009
Sein
. Janvier 2009, Éditions LA PORTE.
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Une île n'est jamais sûre d'elle. Sein cramponne-toi à la liberté de l'air! A peine illuminée l'île laisse les étoiles imposer leur voix. Ce soir c'est dans le ciel que l'on se noie. Un phare n'éclaire rien il parle au marin confiance sans promesse. |
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Sur la carte
des sens île tu es femme et le phare te garde son incandescence. |
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Ses galets sont ses armes et aussi son silence. |
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Galet - insurrectionnel - de Ricardo Migliorisi, artiste paraguayen, 1979. | ||
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Michel Le Sage, graphiste, 2013 |
2008
Encre Féline. Avril 2008, Petite Collection de l'Autre Rive.
"Chaque nouveau livre de Guénane
contribue à la construction d'une oeuvre vraie, à la fois passionnée et
singulière. Guénane nourrit ses textes d'une approche hypersensible du
monde qui l'entoure, mais aussi d'une histoire intime aux blessures
jamais tout à fait closes. Sa poésie y gagne en humanité, en profondeur
et en vérité." Ces mots de Yann Lukas,
journaliste à Ouest-France, ont été repris dans le journal pour la
sortie d'Encre Féline, le vendredi 18 avril, jour de la Saint Parfait.
Le Chat choisit la main qui le caresse et le Livre l'envie.
Un mot blesse plus qu'une griffe. |
![]() Chat, 1976, Ricardo Migliorisi, artiste paraguayen qui osa toujours transgresser. |
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Novembre 2008: Livre Collectif, 40 Lieux, 40 Auteurs, En Bretagne ici et
là... Edition Keltia Graphic
"L'étonnante variété de ces textes est à l'image de la diversité des
lieux et des gens qui, chez nous, forge malgré tout une identité
commune."
Participation de Guénane: L' ÎLE CHAUVE (Molène).
2007
L'Île Subtile.
2007, Éditions LA PORTE.Île
quand tu ne sais plus
si la pluie d'ici
tombe au dehors
ou bien en toi
tu te dilues.
«...Avec ce huitième livret,Guénane met un
point final à la pérégrination poétique qu'elle avait entamée en 1999.
Huit escales méditatives, huit variations sur le thème de l'île ... »
Yves Loisel- Le Télégramme- Septembre 2007
«Chaque nouvelle "île" de Guénane est
un petit événement. Il s'agit ici du huitième livret sur l'île de Groix
évoquée le plus souvent à l'aide d'un lexique musical...C'est une invitation
personnelle adressée au lecteur pour que celui-ci trouve sa propre île,
celle que chacun porte au plus profond de soi, et que le vacarme de la
société marchande nous empêche trop souvent d'écouter.»
Eliane Biedermann (Revue I.H.V.).
Trouve ton île secrète
ton île subtile
où le silence
tient ses promesses.
COULEUR FEMME. 2007,
Éditions Rougerie (87330 Mortemart).
CLÉS. Décembre 2007, aphorisme avec intervention originale
de Hubert Marceaux.
Raretés des Sept Collines.
Collection
Raretés des Sept Collines, dirigée par Michel Sottet , chez
Jean-Pierre Huguet.
(10 exemplaires numérotés dans un emboîtage 11x6, plus quelques exemplaires
H.C. réservés.)
consulter http://www.mano-de-caevel.fr
2006
Île? 2006,
Éditions LA PORTE.Murmurer le mot île
et laisser onduler l'énigme.
« ...En finit-on jamais de faire le
tour d'une île? La fascination – l'obsession? - semble intacte,le
dialogue permanent... L'île serait-elle la baleine blanche de l'auteur?...
»
Yves Loisel- Le Télégramme-Avril 2006
2005
L'Océan te l'apprendra. 2005, Éditions Rougerie (87330 Mortemart)
Encres de Didier Collobert.
(Didier Collobert a illustré Baraques du
Globe, texte de Didier Daeninckx, Terre de Brume, 2008.)
L'Île Frôlée. 2005, Éditions LA PORTE.
Île
est un mot intime
une pulsion
qui s'écrit
entre amis
entre amants
deux battements de cils.
"Guénane en finira-t-elle jamais de s'adresser à son île...Eternel
mystère, que le phare qui apparaît pour la première fois, éclairera
peut-être un jour?..."
Yves Loisel. Lettres Bretonnes. LeTélégramme- 12
juin 2005.
ÎLE. 2005, Livre d’artiste
gravé.
Texte de Guénane.
Gravure de Jean Claude Le Floch. Atelier Landsable. Octobre 2005.Île
entre toi et mes cils
un pacte tactile.
Tu m'es une manière
de mer intérieure.
2004
Immobîle. 2004, Éditions LA PORTE.
L' immensité devient vite un sentiment
troublant
un étourdissement.
L' océan nous ignore
mais il aime qu' on le comprenne.
«… Depuis cinq ans maintenant, Guénane a entrepris d’explorer poétiquement l’île qu’elle a sous les yeux dans le Morbihan… Jouant des assonances et des images, elle médite, imagine, extrapole, navigue en mots autour de son île… Un monde dominé par les éléments féminins, qu’aucun phare ne vient éclairer de sa présence masculine. » Yves Loisel. Lettres Bretonnes. Le Télégramme, 4 juillet 2004.
Histoires d'Eaux. 2004 Co-édition Fibres Libres & L'Autre Rive.
30 exemplaires sur papier à base d'abaca avec fragment de papier marbré. |
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L'idée d'île. 2003, Éditions LA PORTE.
Une île à découvrir?
Vous même.
«Guénane fait partie des poètes qui comptent aujourd'hui en Bretagne. Avec ce petit recueil, elle poursuit sa méditation rêveuse sur l'île. En quelques vers, elle lance une réflexion, une image, un cri ou tout simplement un clin d'œil...» Yves Loisel. Lettres Bretonnes. Le Télégramme, 11 mai 2003.
«Guénane, femme poète au nom mystérieux. Depuis 1999 elle nous parle d’îles. S’agit-il d’îles différentes au large de la Bretagne, ou est-ce cette même « île voisine » qui lui parle intarissablement et à laquelle parfois elle s’identifie ? ...
Ile
comme toi je m’allonge et j’attends
l’invité transparent irréel.
… La collection «Poésie en voyage» tient ses promesses: notre esprit peut s’évader l’espace d’un recueil poétique vers cette île d’embruns et son éternité.»
Ile
caillou qui ne coule. Eliane Biedermann.02/04. Revue Friches. N° 85.
Un Fleuve En Fer Forgé. 2002, Éditions Rougerie (87330 Mortemart).
«Guénane nous fait découvrir le décor de son enfance, le Fleuve, la Vallée, les Forges, trois lieux qu'elle ne nomme jamais.»
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« Enfance mot-poulpe tu le prononces et tu étouffes.»
«Fleuve
«Vallée
goulet
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«Des pas. |
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Front Populaire, 1937, |
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Michel Le Sage, graphiste, 2013 |
«Termes
durs, précis, implacables. A chaque page le lecteur prend une
gifle en pleine figure, sèche, sifflante.
Guénane se bat. Pied à pied. Sans concession. Grâce
à une saine vitalité, elle fait entendre une voix forte,
elle construit une œuvre solide et surtout, elle se donne la vie.»
«Née
le ... à ... qu'importe!
Je naîtrai.»
Le Télégramme,
1er décembre 2002, Lettres Bretonnes par Yves Loisel.
«Poésie hauturière. Naître après la naissance, voilà l'option vitale de Guénane. Des trouvailles superbes, terribles: "Pour toujours tu es seul sur le seuil de ton enfance"; on entend en lisant "cogner la crosse de l'aorte". Mémoire ténébreuse qui refuse "la vase molle des soumissions". Poésie à lire, à relire... » Max Pons, Directeur de la revue La Barbacane, février 2003.
«...
Les Bretons sont des taiseux, et il est vrai que le refus de se plaindre
et de parler pour ne rien dire donne à la parole une ampleur, une vigueur,
au besoin une violence que je retrouve dans votre livre. Témoin ce Fleuve
dont vous épousez, en parfaite osmose, l'âme et la vie...
Un grand mariage "en fer forgé".»
Jean
L'Anselme, poète.
«Guénane est une des belles voix poétiques aujourd’hui en Bretagne. Rougerie, son éditeur, publie d’elle un dixième recueil : Un Fleuve en Fer Forgé. … « On ne repeint pas les lieux de son enfance » dit Guénane. On ne les repeint pas, mais on les utilise en décor naturel pour ses mythologies intimes. Guénane fait comme le fleuve: elle rattrape dans ses mots l’horizon qui s’esquive.» Yann Lukas, Ouest-France, 21 août 2003.
«... L’incandescente Guénane, une des grandes voix féminines d’aujourd’hui dont l’éloignement – elle vit au bord de l’océan près de Lorient – et la grande discrétion ne favorisent pas, hélas, la notoriété. Une œuvre à découvrir chez son fidèle éditeur Rougerie.» Bernard Mazo, Aujourd’hui Poème, février 2002.
Bernard Mazo, poète et critique,1939-2012.
Une île dans le regard. 2002, Éditions LA PORTE.
Île
heure lasse
à elle seule une voile
dévoile l'infini qui passe.
Ne compte pas tes rides compte celles
de l'océan
elles t'enseigneront
la vie éternelle.
«Après île (1999), île voisine (2001), Guénane poursuit sa méditation sur l'île. De court textes, fruit d'un long compagnonnage, d'une complicité entre l'auteur et Groix qu'elle aperçoit de sa fenêtre. Une pointe de tourment? Sans doute, mais le ton, le plus souvent, est apaisé» Le Télégramme, 13 mars 2002, Lettres Bretonnes par Yves Loisel.
2001
Île Voisine. 2001, Éditions LA PORTE.
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Solitude et musique ne sont plus qu'un seul mot. |
Clin d'œil en thaï de Wichuta Lohityotin. |
«Tout est dit. Avec une grande sobriété, Guénane dit des choses simples et denses; l'effet poétique se prolonge longtemps au-delà des mots...» Yann Lukas, Ouest-France, 12 septembre 2001.
2000
Fenêtres. 2000, Éditions LA PORTE.
Être poète
C'est percer une fenêtre
Quand le mur n'en a pas.
Poing d'Ombre. 2000, Éditions Rougerie (87330 Mortemart).
Tout poème vous invite
A fuguer en vous-même
Ce gouffre où personne
Ne vous coupe la parole.
«Textes sans concession, vers implacables de lucidité qui vous laisse KO debout. La poésie de Poing d'Ombre est forte, énergique, dure…» Yves Loisel, Le Télégramme, 8 novembre 2000.
«Guénane
reste un poète compréhensible, chose rare en ces temps de poésie obscure,
elle a aussi le sens de la formule qui touche:
- D'où venez-vous?
- De moi-même.»
Yann
Lukas, Ouest France, 4 janvier 2001.
1999
Île. 1999, Éditions LA PORTE (Poésie en Voyage, au mini-format 10x15, couverture ivoire)
En tout abus d'espace
Un peu de mort frissonne.
«... un mini-recueil à la couverture ivoire qui ouvre sur un grand pan
d'azur et d'embruns.» Eliane Biedermann, revue
Hélices.
1997
Les Yeux d'Argos. 1997, Éditions Rougerie (87330 Mortemart)
A force d'avoir perdu la parole
De nicher dans l'éternité des mots
La poésie s'étonne
De sa propre voix.
«Dans
les Yeux d'Argos, Guénane nous invite à une célébration
des mots et de l'écriture. Célébration? Le terme
est peut-être trop religieux pour décrire le corps à
corps de cette femme avec le langage. Sa pensée est directe,
l'expression rapide, violente aussi, sans concession...»
Yves Loisel, Le
Télégramme, 11 février 1998.
1993
Un Chat d'Encre Noire. 1993, Éditions Rougerie (87330 Mortemart)
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Bois peint de Ricardo Migliorisi, pour Un Chat d'Encre Noire. |
1991
Retour. 1991, Éditions Rougerie (87330 Mortemart)
Nostalgie histoire d'erreurs
à qui la mer offre une couleur
à réinventer toujours.
Le plaisir unique
de ne pas attendre de réponse.
1986
Silence Sud. 1986, Éditions Rougerie (87330 Mortemart)
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Se taire n'est pas
silence c'est le début de la mue. La fidélité est toute de silence. |
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Les femmes apprennent le
métier à tisser le silence. |
1976
Nordeste. 1976, Éditions Rougerie (87330 Mortemart)
Qui a tué qui a bu
le fleuve?
Assaillir
ou
se consumer.Quem matou quem tragou
o rio?
Assaltar
o
consumir-se.Virgulino Lampião, cangaceiro,
12 février 1900- 28 juillet 1938.
1974
Mais, Ailleurs. 1974, Éditions Rougerie (87330 Mortemart)
Jamais un aveu ne sera
plus précis qu'un départ.
L'illusion, cette petite cravache...
1971
Stries. 1971, Éditions Rougerie (87330 Mortemart)
Plus que l'instant
l'instance
qui nous burine.
Ne pas toujours être de passage.
1969
Résurgences. 1969, Éditions Rougerie (87330 Mortemart)
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C'était juste après l'enfance quand les souvenirs ont l'âge de l'instant c'était une lumière tendre à traverser. |
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Brière, 1974, de Robert Watbot (1942-1998), pour Résurgences. |
Écout
er aussi: « DES
RIMES…DERAPE ! » par la Compagnie Rouge Malice, sous la distribution
nationale « Au Merle Moqueur » avec le soutien label Enfance et Musique-Marc
Caillard. Mai 04.
Un travail de 18 mois avec des enfants, des adolescents et des
professionnels.
Explorations vocales, mystère de la poésie et musiques métissées.
«Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas. C’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles.» Sénèque.
Conception artistique : Annick Meschinet..
39,bis rue Edmond Chapuis. 39570 Montmorot.
Tel. 03.84.24.86.89.
Consulter aussi:
Voix et Visage, Rencontres avec 32 écrivains de Bretagne, Yves Loisel, Coop Breizh - 2000.
Poésie de Bretagne Aujourd’hui; Revue la Barbacane, 2002.
Anthologie Sauvage; revue Spered Gouez, 2003.
Edition argentine bilingue, VOX, 2009.
Consulter Les Carnets d'Eucharis N° 3 de Nathalie Riera
SOMMAIRE
Tahar Bekri
Amelia Rosselli
Cristina Campo
Anne Slacik
Antonio Porchia
Guénane Cade
Roberto Mussapi
Ile Eniger
La Pensée de Midi
Le Bruit du temps, éditions
C'est beau comme...
un chien et le ciel seuls avec leurs reflets sur l'estran d' Erdeven.
Liens:
Le Printemps des Poètes (Banque de données du répertoire poétique contemporain).
Consulter: la POETHEQUE à Guénane Cade ;
Anthologie subjective, Guy Allix, poète.
Poètes de Bretagne, photographies Yann Le Neveu.
Gilles Bizien, peintre poète ou l'inverse.